Vous êtes Mes enfants, vous êtes Ma conquête, le motif de Ma Passion et conunent pourrais-Je négliger, ne fût-ce
qu’un seul d’entre
vous, alors que J’aime chacun comme s’il était
unique au
monde.
Mes enfants, Je vous prends clans Mes bras et Je vous serre sur Mon Coeur
;
et
sachez
que si Je ne laisse pas les épreuves vous tuaitquer, c’est parce qu’en elles se fortifie votre foi, et
qu’augmente
la
grâce qui e~t en vous. Et lorsque Je vous
vois
dans la souffrance, c’est Moi que Je vol’s en vous, ainsi que Ma Sainte Maman, Ma Collaboratrice et votre Corédeniptrice.
N’oubliez pas que la souffrance vous sanctifie et vous reiid grands aux yeux de Dieu, si elle est supportée dans la grâce (le Dieu, au point de vous faire atteindrei’ Ma stature spirituelle.
Ce que Je vous ai
dit vous semble difficile, tuais Je laisse A Ma Maman
le soin de vous l’expliquer,
~t chacun le comprendra très l)ieil
dans son coeur.
Aujourd’hui est un jour de miséricorde et (le pitié. Vous rece
vrez de nombreuses grâces spirituelles et matérielles, Tuais la puis
belle est celle-ci
Que soit effacée en voits
la
peine
de
vos péchés
et
que
vous ayez ,tne augmentation
de
grâce.
Je vous accorderai cette grâce chaque fois
que
toits viendrez prier en ce
lieu.
Je vous Jiénis tous et
chacun en particulier, Je b
litS
vos
familles.
I’Eglise, le Pape Paul VI.
Priez toujours pour tout le monde en oubliant
vos peines pt~isoiino]les, car le
moment est grave et la collectivité doit être souteitue par vous, âmes choisies, qui donnez à la prière toute lii valeur
qu’elle mérite.
JESUS, Milan, diinaitelie 13 avril 1969, à 17 li.
Deu~iènie
Dimanche
de Pâques, Fête je la
Miséricorde.
Note
:
|
Le Deuxième Dimanche de Pâques est la iioiivelle
(lril)llIiIiUtiOII
dii
|
Dimanche de «Quasimodo ou « Iii Aihis », Jésus désire que le Deuxième Dintanehe de Pâques soit
eoii,idéré cutilille
la Fête de Sa Miséricorde.