soit-il, M’adresse un mot, un cri, qu’il invoque Mon aide, et Je suis là, penché vers lui, pour lui dire les paroles les plus douces, pour lui donner tout Mon Coeur.

Douter de la Divine Miséricorde est un signe grave d’orgueil...

Jésus. — Reprends, Ma fille. J’ai voulu te prouver que, lorsque tu écris, tu le fais, guidée par Moi.

Si donc tu doutes de la Miséricorde de Dieu, tu Lui portes un outrage énorme qui L’offense plus crue le péché lui-même.

Dieu est plus désireux de pardonner que de châtier, car Il sait combien vous Lui avez coûté et II ne voudrait jamais permettre que Moi, Son Fils, J’eusse versé tout Mon sang pour rien.

Accours donc vers Mon Coeur, dès que tu te rends compte que tu as péché; plonge-toi dans Mon Sang, dans le Sacrement de Pénitence et puis reprends la route avec une nouvelle vigueur, confiante dans Mon pardon.

Tu sais que Moi, lorsque Je pardonne, J’oublie.

La Sagesse infinie de Dieu

Jeudi Saint 11 avril 1968 (24 h.)

Ma fille bien-aimée, l’enseignement que Je veux te donner en cette leçon sera tout empreint de grande bonté.

Je te parlerai de la Sagesse, vertu sublime; grâce à elle, tu connaîtras mieux la valeur des choses qui méritent d’être appréciées, et tu mépriseras les autres qui ne méritent pas d’être aimées.

La Sagesse réside de manière absolue dans l’intelligence de Dieu. ll l’a montrée dans la création de l’Univers qui est comme un livre parlant; Il n disposé toute chose en temps et lieu, avec une grande bonté et une grande perfection, assignant à chacune sa place exacte. C’est pourquoi tu vois dans le ciel des myriades d’étoiles qui accomplissent continuellement leur fonction ou leur voyage. Je dis les étoiles pour t’indiquer tous les corps célestes qui brillent de leur propre lumière ou sont éclairés pai le soleil.

ll a établi la succession des saitons pour que la terre, arrosée par l’eau, la neige ou la rosée, et réchauffée par le soleil, pût produire en temps et lieu ce qui sert à l’homme.

Des lois très sages régissent la nature et le monde entier.

Puis, si tu considères la structure de l’homme, tu dois rester émerveillée de la perfection avec laquelle Dieu, dans Sa Sagesse, a construit cette machine humaine. Il y a de quoi demeurer dans l’étonnement lorsqu’on admire comment le cerveau de l’homme peut être le moteur qui dirige chaque mouvement du corps humain et chaque action accomplie par ce même corps humain.

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