Cependant les défauts ne disparaissent pas inimédiatenient, mais on sait les excuser chez les autres plus que chez soi. On sait comprendre les difficultés d’autrui, en un mot, on sait pardonner.

Applique-toi, Ma fille, à détruire la haine que le Malin %ra semant dans le monde.

Commence par toi. J’ai ordonné à Mes Apôtres de pardonner eoixante-dix fois sept fois et par là, Je voulais dire de pardonner toujours. Mais cette même chose, Je te la dis, à toi aussi: « Pardonne toujours, pardonne toujours et oublie.:»

Ta vie sera plus sereine. A quoi cela sert-ii que tu entasses dans ton esprit les choses passées qui ont été pour toi source de peine?

Rappelle-toi les belles choses qui font du bien à ton âme ; pour le reste, laisse aller; à chaque jour suffit sa peine.

Porte partout amour et pais~ Jette toujours de l’eau sur le feu. Aime tout le monde, indépendanilnent de leurs mérites et des offenses qu’ils peuvent t’avoir faites et des douleurs ¶u’ils peuvent t’avoir occasionnées.

Aime-les par amour pour Moi et en Moi, et tu jouiras d’une grande paix.

La Communion

Vendredi 7 juin 1968

Ma fille bien-aimée, écoute-Mioi. Je parle au pins intime de ton cOEur où Je demeure avec le Père et avec l’Esprit.Saint.

Je te parle silencieus~zneiit, car Je if aime pas le vacarme; Je te parle dans le recueillement et la prière, qu’elle soit méditation ou prière vocale, pourvu que Pamnour en soit la base.

Je t’en prie: écoute-Moi toujours. Moi, Je ÎvLe réjouis de rester avec toi, J’aime ta compagnie.

Mon désir est de demeurer dans le coeur de tous les hommes. Mais nombreux, très nombreux sont ceux qui demeurent indifférents à Mes appels et n’aiment pas rester avec Moi. Nombreux aussi sont les bons qui, un temps, M’aimaient et Me désiraient, et M’ent abandonné. Ils sont accablés de mille pensées et préoccupations, ils sont attLrés par mille choses matérielles.

Certains se souviennent à grand’peine d’être en Ma présence, quand ils se trouvent à l’église. La plupart du temps, ils ne sont devant Moi qu’avec leur corps.

Et Je ne te parle pas des âmes sacrilèges qui viennent ~4e recevoir en état de péché mortel. Ma répugnance e~t très grande, lorsque Je pénètre dans ces coeurs, comme elle le serait pour toi si tri te plaçais auprès d’un cadavre en décomposition.

209