Je voudrais qu’à cet acte si important, qui pourrait être décisif dans ta vie, tu te prépares de la façon voulue,
Il
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est vrai qu’il ne suffirait pas dc toute une existence pour se
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préparer et Mc recevoir dignement. Et il est vrai aussi qu’ayant mis ce Divin Sacrement sous les espèces du pain, qu’ayant invité très souvent tout le monde à y participer, J’ai donné le moyen d’avoir envers cette nourriture de substance surnaturelle une familiarité et un attrait fort grands.
Cela n’enlève pas que Je souffre beaucoup de voir non seulement les méchants qui méprisent ce don et le piétinent, mais encore Mes amis qui s’approchent de Moi sans recueillement, sans amour et sans réflexion, comme s’ils accomplissaient l’action la plus simple et la plus insignifiante du monde.
Rappelez-vous, Mes enfants, que celui qui reçoit indignement Mon Corps et Mon Sang, reçoit sa propre condamnation, et celui qui ne reçoit pas cc Saint Sacrement dans les dispositions requises, ne pourra pas en retirer les bienfaits spirituels pour lesquels J’ai institué la Sainte Eucharistie.
Et
maintenant, Je t’explique
Ce n’est pas tellement la préparation de paroles que Je désire, mais c’est ce recueillement intérieur qui te rend consciente dc l’acte solennel que tu vas accomplir, qui te fait reconnaître la grandeur du don et ton indignité, et qui te porte à répondre par l’amour au plus grand don d’amour que le Fils de Dieu t’ait fait en Se donnant à toi tout entier.
Une bonne préparation est la garantie dc fruits abondants. Tu ne pourras certainement pas l’improviser durant les quelques minutes qui précèdent cet acte solennel de la Communion, niais par le désir, tu pourras souhaiter ardemment Ma venue en toi dès ton premier réveil matinal.
Si tu savais comme Je désire, Moi, te rencontrer, venir dans ton coeur, demeurer avec toi ! Par le désir, tu peux déjà Mc recevoir spirituellement et préparer ton âme
à
la rencontre sacramentelle.
Prie Ma très Douce Maman de t’aider à te bien préparer/’ à la réception dc Son Pain, qui est Sa chair qu’Elle M’a donnée et que Moi, Je vous donne en gage dc sainteté et de vie éternelle.
Observer la loi
Vendredi 26 juillet 1968
Ma fille bien-aimée, éc~oute-Moi, Je
t’
en prie. Trop rares sont ceux qui M’écoutent. Chacun veut penser et agir comme il croit et comme il veut, et c’est pour cela que le monde va à sa ruine.
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