Dépositaire de la vérité

Dimanche 8 septembre 1968

Ma fille chérie, n’aie pas peur de dire la vérité, car J’aime l’homme véridique. Des millions de martyrs ont donné leur vie par amour pour elle, car la Vérité, c’est Dieu Lui-même.

Ne vous ai-Je pas dit dans l’Evangile : « Je suis la Voie, la Vérité et la Vie ? »

Me suivre, c’est marcher dans la lumière. Quand vient la lumière, les ténèbres disparaissent. Lorsque c’est Moi qui entre dans une âme, l’erreur disparaît, il se fait jour, l’âme est libérée et se réjouit, elle rompt les chaînes dc l’esclavage du démon, elle triomphe du mal et se sent attirée vers le bien par une force irrésistible.

Dans Mon Eglise, J’ai déposé le trésor de Ma Vérité, qui est une. Elle ne peut être malmenée, elle ne peut être adaptée aux temps et aux personnes, mais elle reste immuable.

SOYEZ HUMBLES

L’unique interprète de la Vérité, c’est le Pape ; c’est pourquoi il est continuellement assisté de l’Esprit-Saint. Si tout le monde pouvait interpréter la Vérité à sa façon, qu’aurait à faire l’Esprit- Saint ? Et la Vierge, qui est Maîtresse et Mère de l’Eglise, quelle tâche aurait-Elle ?

Il est vrai que vous dites : « Autant de têtes, autant de façons dc penser ». Mais si chacun avait pouvoir de penser et d’interpréter les doctrines et la Vérité comme il le croit, il y aurait autant de religions que d’hommes.

Si d’autres sciences, en particulier les mathématiques, ont nn seul maître que tout le monde suit, comment la Science des sciences, la Religion, qui est une science olivine, pourrait-elle être interprétée et abîmée par le libre arbitre ?

Je vous le répète : l’Unique Maître de Vérité est le Pape, parce qu’Il est continuellement assisté de l’Esprit-Saint, et quiconque est d’un avis contraire à ce qu’Il commande et décide en matière de Vérité, est dans l’hérésie et dans l’erreur.

Voyez-vous combien de sectes protestantes se sont formées dans le monde, surtout dans votre Europe ? C’est l’orgueil de l’intelligence des hommes qui ne veut pas se soumettre et veut s’ériger en maîtresse alors que sa position est celle de l’élève. Soyez humbles, Mes enfants, et il vous sera facile dobéir, il vous sera facile de croire ; et avec sérénité et avec joie, vous accepterct Mes enseignements qui vien
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