vous rencontrerez. Vous vous arrêterez et vous ne serez plus capables de réaliser ce que j’ai disposé pour vous et qui est aujourd’hui si nécessaire pour le salut du monde et le renouvellement de l’Eglise, dont je suis la Maman.

Dans ces messages, je vous révèle aussi mon dessein dans sa préparation silencieuse, dans sa douloureuse actualisation et dans son victorieux accomplissement.

Vous parvenez à présent au terme le plus douloureux et le plus sanglant de la purification, qui se déroulera en ces années, avant le grand triomphe de mon Coeur Immaculé par l’avènement parmi vous du Règne glorieux de Jésus.

C’est un dessein qui embrasse votre siècle. En 1917, je l’ai anticipé à Fatima, presque comme une annonce

prophétique, au moment où apparaissait évidente la grande lutte entre la Dame vêtue de soleil et le dragon rouge, qui durerait tout ce siècle, comme un défi orgueilleux lancé à Dieu par mon adversaire, dans la certitude de réussir à détruire l’Eglise et à conduire toute l’humanité à un refus universel de Dieu. Le Seigneur lui a accordé cet espace de temps, parce qu’à la fin, l’orgueil du dragon sera brisé et vaincu par l’humilité, la petitesse et la force de votre céleste Maman, la Dame vêtue de soleil, qui rassemble à présent tous ses petits enfants dans son armée rangée en bataille.

Maintenant que vous arrivez aux années les plus douloureuses et les plus sanglantes de cette grande lutte, je suis intervenue personnellement pour former ma cohorte par l’intermédiaire du Mouvement Sacerdotal Marial, qui est mon Oeuvre. C’est pourquoi j’ai choisi comme mon instrument un fils parmi les plus faibles, humainement le plus dépourvu: et je l’ai conduit dans toutes les parties du monde pour démontrer aux yeux

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de tous que ce qui est sur le point de se réaliser repose uniquement sur une de mes interventions personnelles extraordinaires.

Ne crains donc pas, mon fils, devant les difficultés que tu rencontres lorsqu’il te semble que quelque instrument choisi par moi, trompé par Satan, ne veut plus répondre à mon dessein. Aie confiance en moi: je suis le Chef de ma cohorte; moi seule, je suis la Maman et la Reine de mon Mouvement. J’emploie les instruments qui me répondent; j’en choisis d’autres, lorsque les premiers choisis ne me répondent plus. C’est moi-même qui fais progresser chaque jour cette oeuvre en vue de la grande bataille que nous menons (...)».

Zagreb (Yougosla.’ie), 14 novembre 1984 Retraite sous forme de Cénacle

pour les Prêtres du M.S.M. de

langues slovène et croate

Ma pressante invitation

«Fils de prédilection, j ‘accueille avec joie ce Cénacle

continu de fraternité sacerdotale et de prière que vous tenez ensemble avec moi, votre céleste Maman. Vous êtes en cette terre où mes fils souffrent et portent le poids d’innombrables souffrances, en cette terre si menacée par mon adversaire et le vôtre, mais tellement aimée et protégée par moi.

J’étends sur vous tous mon manteau lumineux et je

vous recueille dans le sûr refuge de mon Coeur Imma culé. A travers vous, fils de prédilection, je veux répandre partout, en ces pays d’Orient, mon message pressant et douloureux, pour qu’il parvienne à tous mes fils.

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