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Jésus. Ma fille bien-aimée, ne te tourmente pas ; accueille les leçons que Je te donne et mets.les à profit. En temps voulu, tu sauras ce que tu dois faire de ces écrits que tu conserveras avec soin.

Parle-Moi toujours avec une grande simplicité et une grande sincérité, car c’est de cette seule façon que tu peux Me plaire, même si quelquefois Je te réprimande. Ne doute jamais de ce que Je te dis. Accueille tout comme une enfant, car l’enfance spirituelle est un don qui introduit à la perfection.

Te rappelles-tu Sainte Thérèse, envers qui tu avais une dévotion particulière? Eh bien, agis conne Elle qni vit maintenant avec Moi. Laisse-toi porter, placée entre Mes bras et bercée sur Mon Coeur.

Accueille les épreuves avec sérénité même si, sur le moment, elles te blessent et te font souffrir. Tu n’es jamais seule au monde. Il y a Quelqu’un qui veille sur toi et qui t’aime.

Dieu est Providence et Bonté infinie, comment ne pas avoir confiance en Lui ? Une maman pourra abandonner ses enfants, mais le Seigneur, jamais.

Dieu vous aime, Mes enfants, connue II s’aime Lui-même, car Il ne pourrait faire autrement votre âme est une partie de Lui, elle est Son souffle vital. C’est pourquoi Il ne peut abandonner une créature à elle.même, même si elle est ingrate et mauvaise, niais Il la suit par monts et par vaux, comme cela vous a été raconté dans l’Evangile. Il la poursuit. pour ainsi dire, jusqu’à l’invraisemblance, Il met toute Sa Routé à son service, pour qu’elle renonce au mal.

S’Il réussit à l’encercler de Ses grâces et à la faire revenir sur Ses sentiers, Il en fait Sa bien-aimée, Il la place sur Ses épaules ou sur Son Coeur et Il l’enivre de Sa charité. Voilà pourquoi la prière pour les pécheurs a tant de valeur. Si vous saviez quelle joie Me procure une âme qui revient à Moi

C. Jésus, Tu aimes beaucoup les pécheurs, mais je pense que Tu aimes beaucoup plus les justes.

Jésus. Ma fille, tu es niairian et tt peut Me comprendre.

Les enfants qui habitent dans ta maison jeuissent de tes solli. citudes et de tes soins, niais si tu as un fils absent et que ta saches qu’il est malade, tu penses à hi souvent, n’est-ce pas ? et s’il revient auprès de toi, guéri, tu fais une grande fête et tu invites tous tes amis à s’unir à toi pour le fher ?

Eh Lien, c’est la même chose p°~i &ci qui aime tellement tous les hommes comme Mes fils.

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