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De toute éternité, J’ai pensé à toi, et durant Ma vie mortelle, tu formais l’ol)jet de Mes aspirations. En instituant la Sainte Eucharistie, Je pensais à nos rencontres. En instituant le Sacremnent (le la Confession, Je pensais à la joie de pouvoir te pardonner.
Quand, aux noces de Cana, Ma Mère sollicita de Moi le premier miracle, Je pensais à ton mariage, à tes enfants, à ta dévotion envers Ma Mère par laquelle tu La contraindrais à opérer des miracles.
Quand, sur la croix, comme déjà à Gethsérnani ou sur le Calvaire, Je souffris des tourments atroces, Je pensais à tes souffrances, auxquelles Je donnerais de la valeur par Mes mérites, et cette pensée Me donna du courage et augmenta en Moi le désir de mourir pour toi.
Quand, après la Résurrection, Je montai au Ciel, Je pensais déjà au jour où toi aussi, tu participerais à Ma Gloire et à Ma joie.
Comment répondras-tu à tant d’amour ? Attendras-tu, par hasard, les liras croisés, que le Seigneur vienne te prendre pour t’emporter avec Lui?
Rappelle-toi bien ceci, Ma chère fille, et dis-le à tout le inonde Celui qui a créé le ciel et la terre et toi-même sans ton aide, ne te sauvera pas sans ton concours, sans ta volonté, sans ton courage.
Courage et au travail. Fais que la Rédemption ne soit pas vaine pour toi. Use de tous les moyens que le Seigneur te donne, pour correspondre à Son Appel Divin. Emploie-toi à témoigner de Moi, (le Ma Vérité, de Mon Evangile, devant les hommes.


J’ai pratiqué l’obéissance
Mercredi 27 muars 1968


Reconnaissante pour le don que Dieu t’a fait, efforce-toi de te sanctifier. L’oeuvre de sanctification de ton âme, demande-la continuellement à l’Esprit-Saint. Mais, de ton côté, corresponds à Son travail et apporte ton aide, en écoutant les bonnes inspirations, en coopérant par la méditation et la prière, en cultivant cette vie intérieure qui a une valeur immense et dont dépend la récompense au Paradis.
Prie Ma Mère pour qu’Elle t’aide à accomplir le chef-d’oeuvre (le ta perfection. Elle t’instruira doucement comme Elle le faisait avec Moi, quand, petit enfant, J’étais assis sur Ses genoux, ou quand, un peu plus grand, Elle Me donnait d’importantes leçons de doctrine.
Même si, comme Fils de Dieu, Je savais tout, comme homme, Je Me pliai en tout et pour tout aux exigences, aux faiblesses et aux défi
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