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la nature humaine, et Je voulus avoir besoin d’apprendre tout ce que font les petits enfants, les jeunes et les hom~pté le péché).
tenant, Ma chère fille, Je vais commencer à te parler de
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vertus que tu devras cultiver et enseigner aux autres.
VOICI JE VIENS
commence à te parler de l’obéissamice, vertu qui M’est si chère. J pratiqué l’obéissance, non seulement dans les premières années Ma vie, mais durant toute Ma vie mortelle.
Me voici, Je viens ! » ai-Je dit à Mon Père dès Ma naissance et, à partir de ce moment-là, en Me soumettant à la volonté de Ma Mère, J’entendais obéir à Elle, mais surtout à Mon Père qui M’avait envoyé dans le monde.
Te rappelles-tu quand Je Me suis perdu dans le Temple? « Je dois faire la Volonté de Mon Père », ai-Je répondu à Mes parents qui, angoissés, M’avaient cherché.
Ceci était vrai. Cependant, Je Les avais suivis et, revenu à Nazareth, Je Leur fus toujours soumis jusqu’à l’âge de trente ans. J’ai obéi à Ma Mère, même au commencement de Ma vie puflique, quand, invités à des noces, Elle Me demanda de changer l’eau en vin pour contenter les jeunes époux.

LE PAIN QUOTIDIEN
L’obéissance ami Père devint alors pour Moi ~e Pain quothlieti. En effet, rappelle-toi ce qui est écrit dans l’Evangik: « Ma nourriture, c’est de faire la Volonté de Mon Père ».
J’ai obéi aussi aux autorités religieuses et civiles, car Je devais donner aux hommes l’exemple d’une vertu si belle et si estimable aux yeux de Dieu.
J’ai obéi jusqu’au dernier jaur, lorsque J’ai sacrifié Ma vie humaine sur l’autel de la Croix. « Obéissant jusqu’~ la fin ». L’obéissance est une vertu maîtresse, car elle conduit avec sûreté au Paradis.
Que les Religieux et les Aines comisacrées qui, [ar le voeu d’obéis. sance, se lient à l’observance d’une Règle, sachent ceci ils marchent
•ur une voie principale et, s’ils ne font pas de détours, ils arriveront ($cilement au Ciel.

UNE ROUTE SURE
L’obéissance est une route sûre ; elle est comme ~imi ascemiseur qni icilite la montée. Les supérieurs peuvent se tromper et devront en
- compte à Dieu, mais l’obeissance ne se trompe pas, larce Je laisse aux autres la responsabilité.

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