spirituellement et matériellement, pour qu’elles repartent d’ici réconfortées.
Toi aussi, aime-Moi, Ma fille bien-aimée, et abandonne-toi entre Mes bras commne une enfant. Je te nourrirai, Je te ferai grandir, Je le préserverai des dangers ; Je te sanctifierai, Je te sauverai.
La
vie
éternelle
Vendredi 29 mars 1968
C.
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Seigneur, me voici à Ton service
Jésus.
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Ma fille bien-aimée, la leçon que nous allons commencer sera une douce conversation sur un sujet d’importance capitale. Je te parlerai de la vie éternelle ait-devant de laquelle tu es en traima (le cheminer.
Sera-t-elle une éternité (le gloire ? C’est justement pour cela que tu as été créée. Il y a, en effet, au Paradis une place laissée libre par les Anges rebelles et destinée à chaque homme.
LA, ILS T’ATTENDENT
Tous, vous êtes tous destinés à vivre dans la gloire avec Moi et avec Marie, Ma Mère, plonges en Dieu. Mais toi, arriveras-tu à ce seuil béni ? Là, t’attendent les Anges et les Saiuts qui t’ont précédée. Là, tes grands-parents et tes parents, là les Saints de l’Ancien et du Nouveau Testament font une couronne à Dieu, dans la vision (le qui ils goûtent une joie infinie.
Tu es destinée à les rejoindre, toi aussi, et à t’unir à eux pour célébrer la Gloire infinie de la Trinité Sainte pendant toute l’éternité. Te dire que cette perspective devrait te séduire au point de te rendre désireuse de l’atteinlre serait un mince argument.
Te dire que tu devrais accueillir avec joie tous les ennuis et surmonter tous les obstacles, à comidition d’y parvenir, est une raison bien faible ; et Moi seul, Je puis te le dire, car Je sais ce que vous a préparé le Père.
Mais si tu as confiance en Mes paroles, Ma fille, écoute-Moi (Mes paroles sont Vérité et Vie et elles ne passeront jamais, « le Ciel et la terre passeront, mais Ma Parole ne passera jamais
»).
Si toi donc, tu M’écoutes et Me crois, Je t’assure que le bonheur, préparé pour vous au Ciel, est tel que ce ne serait rien de supporter tous les martyres, de verser toutes les larmes, de subir n’iniforte quelle peine ou malheur, à condition de parvenir à cette félicité.
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