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Marie. Je suis au milieu de vous et Je prie avec vous... La récitation du Chapelet Me console et M’offre la raison de vous accorder [Vies bienfaits.
Oui, Je vois tous vos besoins, Mes chères filles, et Je les fais Miens, Je sais ce qui est le meilleur pour vous et Je vous aide pour
que vous soyez libérées de nombreux dangers, et Je vous aide à vivre
dans la grâce de Mon Jésus ici, sur la terre, pour pouvoir ensuite
Vous emporter au Ciel avec Moi.
Mes filles, les dévots dit Chapelet, Je viendrai les chercher Moi- même pour les emporter an Ciel.

NE CRATNS RIEN

Jésus. A la fin de cette journée, Ma fille, que tu as passée continuellement unie à Moi et à Ma douce Maman, permets-Moi de te dire quelque chose.
Tu sais combien Je t’aime, et comme Je désire être aimé de toi. Eh bien, ne crains rien. Quand, le soir, eu repensant à la journée écoulée, tu trouves que tu M’as aimé et que tu n’as pas fait de niai au prochain, mais qu’au contraire, tu l’as aidé, ne doute pas: Lu as bien utilisé ta journée.
Du reste, ne t’inquiète pas du mal que peuvent faire les autres, Ne t’inquiète que s’il s’agit d’une offense à Dieu, et des moyens de la réparer. Pour le reste, laisse-Moi faire. Tout le inonde a une conscience et une manière de voir ; c’est pourquoi ne veuille pas censurer.
Vis en paix, en t’occupant de ta mission ; Moi, Je pense au reste. Q ne cette pensée te serve chaque fois, pour ton examen de conscience.


L ‘Apostolat est un devoir
Lundi 1er avril 1968

Ma fille bien-aimée, Me voici pour te donner l’habituelle instruction.
Tu sais très bien que Mes paroles, prononcées dans le secret, devraient être proclamées sur les toits, mais tu ne peux le faire, et c’est pourquoi Je veux t’enseigner comment répandre la Vérité.
J’entends te parler de l’apostolat, tâche indispensable dans l’Eglise, laquelle se serait bornée à n’avoir que les douze Apôtres coin nie

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