Aimez Mon Jésus : s’Il a souffert sur le gibet de la Croix pour tous, Il souffre encore en tous les êtres souffrants du monde et II souffre aussi pour tout le mal qui se répand dans le monde. Réparez, Mes enfants, et aimez aussi pour ceux qui haïssent.

Que le soleil ne se couche jamais sur vos journées, sans que vous ayez adressé une pensée à ce Prisonnier d’amour qui est Mon Jésus dans le Tabernacle.

Voilà pourquoi Je désire le Tabernacle en ce lieu béni par Moi. afin qu’il vous emporte plus souvent par la pensée vers Mon Jésus, dans le Saint Sacrement.

Merci dès à présent pour le don que vous Me ferez.

Je vous bénis encore, Mes enfants, et avec vous, tous ceux qui sont unis par la pensée et par la prière, les malades, les Prêtres et les Ames consacrées.

Je vous attends, toujours généreux et fervents, mardi prochain.

La chasteté

Mardi 2 avril 1968

VERTU PEU CONNUE

Jésus. — Ma fille bien-aimée, ce que Je vais dire est d’une extrême importance ; et tu Me suivras de ton esprit et de ton coeur pour partager avec Moi pensées et sentiments.

Je dois te parier de ce que Ma Mère et Moi, nous prenons très à coeur, et qui constitue la richesse particulière des âmes privilégiées.

Je te parlerai de la chasteté.

Elle est une vertu angélique peu aimée et peu connue, parce que peu appréciée. C’est la vertu que J’ai chérie, que Ma Mère et Mon Père putatif ont choisie, cjue Mon Apôtre bien-aimé a possédée ; et à leur suite, une longue théorie d’âmes, disposées même à perdre leur vie plutôt que de perdre cette précieuse vertu.

Quand tu parles de la chasteté, les Anges eux-mêmes écoutent et Mon Coeur s’ouvre à une grande joie, car c’est avec raison que l’on a dit que le Fils de l’homme se nourrit parmi les lis.

Peu sont appelés à Me suivre par la pratique de cette vertu, car elle exige une grande générosité, le sacrifice, le renoncement et surtout l’humilité. Et il n’est pas possible de la posséder et de la conserver sans l’aide de Mon Père Céleste.

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