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Je te remercie, Ma fille, d’avoir écrit ces précieux enseignements. Iii les feras connaître aux personnes intéressées qui appartiennent à ta famille spirituelle, afin que tu puisses, à travers elles, offrir ton aide maternelle.
Je te bénis avec tous Les enfants.


Marie. Mes chères filles, quelle joie pour Moi de vous voir ici, agenouillées à Mes pieds, et unies entre vous par une affection particulière. Je bénis votre union d’amour; Je désire qu’elle se répète et s’élargisse.
Je vous bénis, Mes filles, et Je bénis toutes les âmes qui, en union d’esprit, sont en train de prier avec vous. Ne craignez jamais rien. Je suis auprès de vous dans toutes vos nécessités et Je vous aide quand vous vous sentez tristes et seules. Aimez-vous toujours bien, car telle est la loi.


Un défaut très nuisible
Jeudi 4 avril 1968

C. Jésus, me voici à Ton service
Jésus. Ma fille bien-aimée, ouvre bien tes oreilles à ce que Je vais te dire et ne te fâche pas si Je touche une corde très délicate. J’entends te parler de la médisance, défaut si commun dans le monde et très nuisible pour les âmes.
Note que Je t’ai dit : de la « médisance », non de la «calomnie », qui blesse bien plus gravement le prochain; mais de la « médisance ». Beaucoup de personnes la considèrent comme une bagatelle, dont certaines même qui prétendent M’aimer, Moi, et le prochain, et se déclareiit des chrétiens pratiquants.

LA REPUTATION D’AUTRUI

Ne pense pas, Ma fille, que la calomnie soit tellement éloignée de la médisance, car, de cette dernière, Je t’assure que l’on peut arriver à la première avec une grande facilité.
Ma fille, prends soin de la réputation d’autrui, dans la mesure même où la tienne t’est chère, et garde-toi bien de juger la conduite de tes semblables.
Tu ne peux savoir les intentions et les pensées qui déterminent leurs actions. Ce qui, pour vous, est mal en apparence, à Mes yeux

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