quer de charité, car tout cela déplaît à Mon Coeur et n’apporte d’avantages spirituels à personne.

Vous devez savoir appeler chaque chose par son nom avec situplicité, avec bouté; mais vous devez être sârs aussi que la chose est bien ce que vous dites. Je veux signifier par là que vous devez être certains que ce que vous nffirmei est la vérité et non le fruit de l’imagination ou d’une hallucination. Aunez l’étude des vérités éternelles. Approfondissez-les, car l’ignorance de ces vérités porte à accomplir de nombreuses erreurs dans la vie.

Quelques Saints sont parvenus à la sainteté et à la perfection parce qu’ils ont cherché, invoqué et approfondi la Vérité.

LA VERITE EST LUMIERE

Si tu es compétente, si tu connais bien ce que tu crois, tu pourras défendre la Vérité contre les erreurs et les combattre en la gardant intacte, telle que Je vous l’ai donnée.

Alors, oui, la Vérité vous rendra libres. Je te l’explique. La Vérité est lumière; cerlùi qui marche dans la lumière est libre. Le péché est ténèbre et celui qui pèche trébuche dans le noir et perd la liberté de marcher. Comment peut-il savoir où se diriger s’il ne voit pas ?

Je voudrais te dire une dernière chose et c’est celle-ci rappelle- toi toujours que l’hoimne vrai a Dieu pour Père et qu’au contraire le père du mensonge, c’est Satan.

Si tu veux avoir Dieu pour Père, ne mens jamais. Même auprès 4es autres, rhomme sincère est tenu en considération. Vous avez l’habilude de les appeler les honnêtes hommes.

Je voudrais que le monde fût rempli dc gens honnêtes qui aiment la Vérité comme leur vie fl plus que leur vie.

La prudence

Mercredi 1er mai 1968

Ma fille bien-aimée, la leçon que Je te donnerai roulera sur un thème très important et souvent cité, nuis peu connu. Je te parlerai de la vertu de prudence. Cette vertu est comme la conséquence des autres; c’est pourquoi eUe ne peut subsister sans elles.

L’humilité se défie d’elle-même, elle ne s’exalte pas, elle n’exagère pas dans l’enthousiasme, elle ne Fésume pas de ses forces, elle n’affiche pas ses propres mérites, elle ne s’enrichit pas de ceux d’autrui,

12.4