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Ne soyez pas des ingrats. La reconnaissance est un devoir que
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aussi Je demandais quand J’accomplissais le bien en faveur de
Aoia peuple en Palestine. Ne les oubliez pas, ces fils bien-aimés que t’appelle à une grande perfection.
Dans -l’ardeur de leur jeunesse, conscients de ce qu’ils laissaient t de la croix qu’ils plaçaient sur leurs épaules, ils M’ont fait généteusement le don de leur vie en faveur de Mes enfants.
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La constance réclame de l’héroïsme, ne vous étonnez pas de les
Ivoir tomber. Secourez-les et aidez-les. Ne les calomniez pas, ne murmurez pas contre eux, car elle reste toujours dans l’Evangile, Ma pa I role : « Qui vous méprise, Me méprise. »

I Ils Me sont chers comme la prunelle de Mes yeux, ne l’oubliez jamais.


Le détachement des créatures
Dimanche 19 mai 1968

Ma fille bien-aimée, aie foi et confiance et laisse.Moi faire. Ne crains rien. Personne ne t’est indispensable, hormis ton Dieu qui t’aime infiniment ; les désillusions et les offenses de la part de personnes chères sont nécessaires, Je dirais indispensahles, afin que tu puisses mieux comprendre la bonté de Dieu et Sa fidélité, et Lui offrir tous tes sentiments.
L’inconstance du coeur humain est grande et celui qui se confie à l’homme périt inévitablement avec lui.
C’est pourquoi élève tes pensées et tes affections vers Dieu, ton Créateur et ton Père, et confie-toi à Lui dans tous tes besoins. Il dirigera tes pas et accomplira Sa Volonté en toi, si toi, tu t’abandonnes à Lui. Cela seul est nécessaire.
Double est Sa Volonté : ta sanctification ici, sur terre, et le bonheur éternel au Ciel.
Il
te sanctifie avec le concours de ta volonté, en te donnant les
moyens nécessaires. Il éclaire ton intelligence d’une lumière particulière, II te donne les Sacrements, et l’amour de la prière. Il t’entoure de personnes désireuses de bien et d’aide, qui te sont un stimulant pour marcher dans la voie de Dieu.


LE PAIN DE LA DOULEUR

Il
sème ta route de croix, de contrariétés, de désillusions, de souf
frances physiques, d’incompréhensions, de calomnies, de dérisions; en somme II te donne le pain quotidien de la douleur, alterné avec quelques satisfactions, quelques joies passagères.

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