8

Ma chère fille, Je t’ai parlé au début de voix discordantes ct toimême, tu peux t’en rendre compte. Il y a ceux qui nient l’existence de Dieu, parce qu’il est plus facile et plus commode de Le nier. Il y a ceux qui L’admettent, mais Le relèguent au fond dn ciel ; par conséquent, troIs éloigné de l’homme, Il ne peut S’intéresser aux vicissitudes humaines.
Il y a ceux qui, en L’admettant, Le haïssent parce qu’ils Le considèrent comme la cause de leurs maux, maux que l’homme lui-même s’est créés par le péché. Il y a ceux qui ne croient pas en Moi qui te parle comme Fils de Dieu, et refusent Ma loi d’Amour universel.


MON EGLISE

Il y a ceux qui disent qu’ils croient en Moi et ne veulent pas accepter cette institution qui a jailli de Mon Coeur, qui est Mon Eglise. Si Elle est imparfaite dans les membres qui La composent, Elle est cependant parfaite dans les qualités que Je Lui ai données, dans les moyens de sanctification qu’Elle tient à sa disposition.
Conduite, comme Elle l’est, par l’Esprit-Saint, rendue infaillible, toujours vivante, toujours jeune grâce à Lui qui en est l’âme, Elle est le sûr moyen pour arriver au Ciel. Les voix discordantes ne sont qu’ingratitude, désobéissance, aveuglement volontaire pour ne pas voir, ne pas entendre, ne pas aimer Celui qui, avec la vie, a donné à l’homme tous les moyens de salut.
Toi, du moins, Ma fille, aime Dieu, remercie-Le pour cette loi d’Amour universel qu’fl a établie; observe-la avec amour, comme un bon fils ferait pour obéir à son père et tu auras, dans ton coeur, beaucoup de paix, de sérénité et de joie, car Mon joug est suave et Mon fardeau léger.


La prière
Lundi 22 avril 1968
Ma fille bien-aimée, écoute-Moi bien, car Je commencerai à t’instruire sur un sujet important, très cher à Mon Coeur. Je te parlerai de la nécessité de l’oraison. J’entends, par là, t’entretenir de toutes les manifestations spirituelles qui servent à se mettre en communication avec Dieu.
Je te dirai quelle grande valeur possède la prière : Je ne l’ai jamais cessée durant Ma vie mortelle, ni de jour, ni de nuit. C’est pourquoi Je puis t’assurer que Ma vie fut une continuelle oraison.


109

8