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de se relever. Mais l’obstination dans la faute et le fait de ne pas vouloir se repentir place le Seigneur dans la condition de ne pas pouvoir pardonner.


LA VOLONTE HUMAINE

En chaque cas, il faut toujours le concours de la volonté humaine pour que Dieu agisse, parce que Lui ne force jamais ta liberté de l’homme. L’épreuve doit être surmontée librement, elle ne doit pas être imposée.
Soyez prêts, Mes enfants, à reconnaître vos erreurs et cela, faites- le aussi entre vous pour qu’il vous soit plus facile de vous humilier I devant Dieu Lui-même. Demandez-vous mutuellement pardon, parce que vous avez tous la possibilité de vous tromper et de pécher.
Si votre esprit est bumble et disposé à la paix envers le prochain, il ne saura conserver de la haine envers Dieu, devant cpi il s’humiliera facilement.
Il vous a été dit « Que le soleil ne se couche pas sur votre colère » et, maintenant, Je vous dis : « Ne vous endormez pas avec le péché dans l’âme et, de ce fait, en colère contre Dieu. » Cherchez tout de suite à y remédier. Repentez-vous, demandez pardon, car vous ne savez pas si, durant la nuit, la mort ne viendra pas comme un voleur.
Veillez, car vous ne savez ni l’heure, ni le jour où 1’Epoux viendra. Recourez à Dieu après toutes les chutes ; si petites soient-elles, elles sont toujours graves si l’on pense à la dignité de la personne offensée.
Demandez toujours au Seigneur la lumière suffisante pour connaître vos fautes et l’humilité pour les détester.
Priez aussi pour les pécheurs obstinés qui, rebelles, réfractaires et ingrats envers Dieu, s’entêtent dans vue vie de péché, laquelle les conduira certainement à la mine.
« Tant qu’il y a de la vie, il. y a de l’espoir; avez-vous l’babitude de dire, et il en est vraiment ainsi. C’est pourquoi, Je vous en prie, n’oubliez jamais ceux qui, parvenus au terne de leur existence, sont encore dans le pécbé.


PRIEZ DE GRAND COEUR

Priez pour les moribonds. Un fil les sépare de l’éternité. Une pri.ère offerte de grand coœur, un sacrifice fait avec amour en leur faveur, peuvent obtenir l’aide providentielle, la kuuière nécessaire pour qu’ils comprennent leur situation et se convertissent.
Il vous a été dit que « celui qui sauve une âme a sauvé la sienneS». Mes enfants, donnez-Moi les âmes, J’ai soif des ânes!


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