Combien chères à Mon Coeur sont les personnes qui, tout en s’hataillant selon les habitudes de leur temps, maintiennent certaines limites et deviennent même un objet d’admiration pour les autres, préchant ainsi par leur bon exemple.

C’était là une brève parenthèse pour t’aider à développer le sujet dont Je t’ai parlé au début et pour te donner la possibilité de le zuettre en pratique.

« Que celui qui a deux tuniques en donne une à celui qui n’en a p~s » disait Mon Précurseur.

Soyez généreux, Mes enfants ! N’ayez pas l’ambition de devenir des porte-manteaux auxquels on suspend sans cesse des vêtements de tout genre et de toute mesure.

Rappelez-vous que votre vêtement doit servir à couvrir votre corps. lequel a été, plusieurs fois, consacré à Dieu. C’est pourquoi il faut tout traiter avec respect, aussi bien le corps que le vêtement.

Connue Elle était admirable, Ma Sainte Maman, dans Sa sinaplicité, Sa modestie et Son ordre ! Comme Je voudrais qu’en L’imitant, les jeunes filles, les épouses et les mamans apportent au inonde des pensées de Ciel, d’Anges, de pureté et de bonté.

Elégance et modestie ne sont pas contradictoires.

Pour toi, Je fais allusion à une dernière chose. Lorsque tu clonnei’ ce qui t’est superflu, fais bien attention dc le donner avec amabilité. Que tout soit propre, convenable et utilisable. Et surtout, que ton don soit accompagné par la pensée d’accomplir cette oeuvre de niiséricorde, laquelle sera récompensée par Dieu, dans le Ciel, où II te revêtira de gloire.

« HEBERGER LES PELERINS »

Jeudi 20juin 1968

Ma fille bien-aimée, écoute Mes enseignements. Je continue à te parler des Oeuvres de miséricorde. Nous nous arrêterons un peu sur ce sujet: « Héberger les pèlerins ».

Je t’en parlerai brièvement, Moi qui naquis dans une étable, justement parce que personne ne voulut héberger Ma Sainte Maman, Laquelle, comme tu le sais, était allée avec Joseph à Bethléem, pour le recensement.

C’est ainsi que cela devait arriver, c’est ainsi qu’avaient parlé les prophéties, mais Je t’assure que grande fut pour Moi la douieur de Me sentir refusé de tout le monde. Eh bien, cette douleur se renouvelle encore deux fois pour Moi

224