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frère à voir quelle situation est la meilleure pour lai, afin qu’il sache choisir.
Pour exercer cette Oeuvre de miséricorde spirituelle, tu dois être éclairée et instruite ; c’est pourquoi te sont nécessaires le recours à Dieu dans la prière et une certaine compétence qni te vient de l’instruction religieuse et de l’approfondissement de la vérité de foi.
Ne donne pas de conseils sans invoquer la lumière d’en-haut et sans être mue par le désir le servir ton prochain.
Vois comme il est difficile de conseiller, car si celui qui t’écoute a confia4e eu toi et est décidé à t’obéir, tu assumes une responsabilité. Pàr conséquent, ne dmune pas de conseil si tu ne te sens pas sûre de toi, afin de ne pas indiquer une route que tu ne connais pas, au risque de te tromper.
N’aie pas la manie de conseiller; et veille à ce que d’autres ne mettent tes paroles en pratique que dans la mesure où, les basant sur Mes enseignements, tu es toi-mène certaine de ne pas te tromper.
Le secours moral, que peut recevoir celui qui sent à ses côtés une personne amie, est tellement grand que, très souvent, il suffit à donner la paix, le réconfort et la joie, même en des situations douloureuses et difficiles.
Confie-toi à Moi pour cela aussi ; pèse bien tes réponses, qu’elles soient guidées par le bon sens, par une saine raison, et éclairées par Ma lumière.
Dispense tes conseils avec Jouceur; qu’ils n’aient jamais le ton du reproche, mais celui de la voix amie.
Q ne l’on entende Ma Voix, au travers de tes p aroles ; même si quelquefois, elle résonne un peu durement, elle est cependant toujours très sincère, et surtout elle est raine par l’amour et par le désir du bien des autres.

« INST.RUIRE LES IG1XORAN’JS »
Nlardi 25 juin 1968

Ma fille, écoute-Moi, Je te parlerai de l’Oeuvre de miséricorde que remplit celui qui instruit les ignorants.
On M’appelait Maître, le Divin Maître, car c’était vraiment Ma mission que celle d’enseigner et d’instruire. Je parlais à toutes les catégories de personnes et à des personnes de tous les âges. Les petits enfants M’écoutaient, bouche bée, et les adultes Me suivaient, oubliant leur nourriture et toute autre ckose,
Je M’entretenais avec les antis et les ennemis, avec les justea et les pécheurs, avec les malades et les Lien-portants et à tous, J’evaeiguaLs le chemin du Ciel.
« Je suis la Voie, la Vérité et la Vie; celai qui croit en Moi ne périra jamais » disais-Je.

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