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dans ce sens : si tu recherches les dons, même spirituels, les grâces, vertus et faveurs uniquement pour toi, tu te perds parce que tu fais partie de cette catégorie de riches dont il est dit dans l’Evangile « qu’il est plus facile à un chameau de passer par le trou d’une aiguille qu’à un riche d’entrer dans le Royaume des Cieux. »
Si, au contraire, tu t’oublies aussi spirituellement pour penser aux autres, tu plais au Seigneur qui s’occupe de toi, et de qui dépend ta sanctification.
C’est pourquoi, en suivant ces enseignements, tu feras ton petit programme dont Je t’ai donné le canevas.
Dimanche 7 juillet 1968

Ma fille bien-aimée, ouvre ton coeur pour accueillir la Rosée Céleste que Je ferai pleuvoir sur toi, afin qu’aidée par Ma Grâce, tu puisses accomplir, avec une ardeur toujours renouvelée, Ma Volonté, la Volonté de Mon Père.


La Sainte Messe
Lundi 8 juillet 1968

Ma fille bien-aimée, écoute Mes paroles, car elles sont Lumière et Vie. Ne les oublie pas, m&lite-les, mets-les en pratique et répands- les.
Le monde a oublié Mon Evangile, la Bonne Nouvelle ; il est trop absorbé par d’autres choses pour penser k Moi
Et pourtant, tout passe avec la rapidité du vent. Tout t’est riea qui ne dure vas éternellement. Je t’en prie, travaille pour l’éternité. Prie, aime, souffre, travaille, écris, lis le tout ordonné à la vic éternelle, cette vie éternelle que na es en trait de t’édifier par tes oeuvres que tu unis aux Miennes, par l’intermédiaire de la Grîce.
Je voudrais maintenant te parler da coeur du culte chrétien. qui est la Sainte Messe.
Trop de chrétiens y assistent comme à une simple prière collective dominicale, sans savoir qu’elle est source de vie, immolation continuelle d’une Victime Divine, la seule Victime qui peut dédommager Dieu d’une dette insolvable.
Sacrificateur et sacrifié, c’est le Fils de Dieu qui s’offre Lui- même, bien que d’une manière non sanglante. A tout instant du jour et de la nuit, s’élève de la terre au Ciel stne Hostie aux apparences de pain, un Calice avec son contenu aux apparences de vin, véritable Mystère de foi Ils ne sont rien d’autre que Mon Corps et Mon Sang, que le Prêtre offre au Père pour le salut du monde.


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