Acquiescer aux désirs d’autrui

Vendredi 12 juillet 1968

Ma fille bien-aimée, sache écouter, recevoir et mettre en pratique les suggestions qui te viennent de nombreux côtés, car très souvent, c’est Moi qui te parle par l’intermédiaire de ces personnes bien intentionnées.

Acquiescer aux désirs d’atarui est un signe d’humilité, de bonté, de gentillesse et de charité, Si tu acceptes les conseils des autres, les autres accepteront les tiens et il se créera cette harmonie qui est paix, concorde, c’est-à-dire l’union des coeurs.

Aime la concorde qui plaît tellement à Dieu. Sois toujours en coeur-à-coeur avec Lui et en coeur-à-coeur avec les hommes, avec ton prochain, disposée à l’écouter, à lui pardonner, à lui faire du bien. Sois indulgente avec tout le monde. L’indulgence est miséricorde, elle est largesse de coeur, elle est magnanimité.

Ne reviens jamais sur le passé, sinon pour te rappeler les belles choses et la miséricorde de Dieu envers toi. A quoi cela sert-il de rappeler le mal reçu ou celui que les autres ont fait? Vous vous souvenez difficilement du mal que vous avez accompli parce que l’ayant confessé, vous l’avez, de ce rut, oublié ; mais les autres au~i l’auront confessé, et si Dieu a oublié ton mal et le leur, pourquoi tdi, ne veux- tu pas l’oublier?

Occupe tes pensées à des choses utiles. Pense aux choses éternelles qui t’attendent, pense à accroître ta vertu et ta perfection. Pense de quelle façon tu peux, chaque jour, aider ceux qui sont auprès dc toi, leur faire du bien, les rendre heureux.

Utilise le temps si précieux, qui passe vite et sans retour.

Conserver et accroître la grâce

Vendredi 12 juillet 1968

Ma fille bien-aimée, Je te parlerai du soin que tu dois avoir de conserver la grâce dans ton bue et de l’accroître sans cesse, en fuyant le péché et n’importe quelle imperfection qui la diminuent en toi, car c’est par son intermédiaire que tu plais à Dieu.

Plus la grâce de Dieu est abondante en toi et plus tu ravis le Coeur de Dieu qui t’aime d’un amour infini, au point de Le contraindre d’exaucer tes désirs comme s’ils étaient des ordres.

Crains le péché, Ma fille, sous quelque forme qu’il se présente à toi et combats-le, en te vainquant toi-même, en vainquant tes mcli.

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