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Scrutez bien votre coeur quand vous vous préparez à recevoir ce Sacrement et cherchez la cause du mal. Un péché que vous détestez sous un aspect déterminé peut présenter une racine bien différente.
Je vous l’explique: une personne peut voler pour différents motifs et c’est le motif qui compte. Une autre peut médire et elle peut être poussée, par divers autres défauts, à commettre cette faute. Que l’on supprime ces défauts et la médisance, elle aussi, sera éliminée.
On peut médire par exemple par vanité, par envie, par habitude de commérer, etc... C’est pourquoi il n’est pas tellement nécessaire de dire le péché que de découvrir son origine. Si l’on supprime la racine du mal, tout le reste est éliminé.
Quand vous allez vous confesser, vous allez chez le médecin. Ce n’est pas à lui qu’il conviendrait de cacher vos maux, et vous n’y tenez certainement pas, car vous avez le désir de guérir. Et le traitement sera plus efficace si, après la description de vcs maux, le médecin vous connaît mieux.
Si tu veux vraiment soigner tes maux spirituels, expose-les à Mon Ministre et conforme-toi à ses conseils.
Par là, Je n’entends pas dire, qu’en vous confessant, vous ayez à entrer dans des détails qui peuvent blesser l’oreille du confesseur, mais seulement J’insiste pour que tu découvres en toi-même l’origine bic tes défauts et que l’on puisse t’aider à t’en corriger.
Croyez-Moi, Mes enfants : beaucoup de confessions sont nulles, quand elles ne sont pas sacrilèges, à cause du manque de sincérité.
Quand vous vous confessez, jetez-vous à Mes pieds en exposant tout avec clarté, niais aussi avec délicatesse, avec simplicité et grande foi, mais surtout avec sincérité, en dévoilant la malice de vos fautes a laquelle fera suite votre repentir.
Je verserai Mon Sang sur votre âme et, par l’intermédiaire de I/ion Ministre, vous recevrez de Moi une grande lumière grâce à laquelle il vous sera facile de vous corriger, de vous améliorer, et même d’atteindre la perfection.


Mardi 4 juin 1968 (15 1k.)


Mes enfants, vous voici de nouveau eu Ma présence et en la i~ré. s~nce de Ma très douce Mère.
Merci, Mes enfants. Priez, priez : les temps sont doulotircux, très douloureux ; les fléaux et les croix qui menacent le monde sont horriblement grands.
Priez le Père, faites intervenir Ma Maman pour qu’Elle adoucisse les châtiments et vous prenne en pitié.
Le Père est las de ce inonde et ce qui vous attend est effroyable.


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