Oh ! Ma fille, Je regrette de te le dire. Je sais que tu n’aimes pas de semblables messages que tu qualifies de terroristes. Mais comment puis-Je te taire les grands malheurs qui menacent les hommes ? Un bon Père peut-Il cacher à Ses enfants les dangers au-devant desquels ils vont ou le précipice dans lequel ils posent le pied ?

Je t’en conjure, Ma fille, fais entendre et parvenir ta parole au plus grand nombre possible afin qu’il ne soit pas trop tard. Adresse-toi aux autorités religieuses que tu connais et fais-leur savoir Ma Volonté. Que l’on prescrive des prières publiques et des réparations. Que l’on ajoute au Saint Sacrifice une supplication spéciale à Dieu.

Veuille le Père, encore une fois, se laisser toucher par la pitié en faveur de ce peuple ingrat et infidèle et retirer Sa main qui déjà pèse trop sur lui.

Priez, suppliez la Vierge Sainte de vous aider, ne cessez jamais de La supplier.

Oh ! Mes enfants, la catastrophe est horrible

Priez, priez, priez

Le véritable amour de Dieu

Dimanche 25 août 1968

Ma fille, écoute-Moi. N’aie peur de rien. Je suis auprès de toi. Aime-Moi. J’ai un tel désir d’être aimé et ils sont si peu nombreux, ceux qui M’aiment sincèrement

La plupart du temps, beaucoup d’âmes croient M’aimer, mais à la première épreuve ou à la première contrariété, elles se découragent, pleurent, se désespèrent et, ce qui Me fait le plus mal, elles M’abandonnent.

Ces âmes Me cherchent, Moi, mais seulement pour leur jouissance spirituelle et pour être à l’abri des peines corporelles. En un mot, elles Me cherchent et M’aiment égoïstement et uniquement pour le profit qu’elles en retirent.

L’amour véritable est bien différent, Ma fille ! Il est comme tin don que tu Fais continuellement à l’être aimé. Quand, en outre, cet être est ton Dieu, l’amour le lien précieux qui unit la créature au Créateur d’une manière sublime et impérissable; de sorte ~ue la mort elle-même rie peut le briser, et toutes les contrariétés, [es croir, les maladies et les peines de cette vie ne réussissent pas lavantage à l’affaiblir.

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