LÀ FAMILLE DE NAZÀRETH

Seul un Hcsrmne-Dieu pouvait être en mesure de réparer idferise faite â Dieu par une créature. Et Je suis venu, Moi, le Fils de Dieu. J’ai revêtu la nature humaine peur pouvoir expier, souffrir et mourir. Je suis venu dans le monde et Je Me suis choisi nue famille.

Comment pais-Je te parler de Ma famille? La famille de Nazareth, celle que tout le monde disait être une famille d’hiunbles ouvriers. Rien de plus harmonieux, ni de plus divin, rien de plus serein, ni de plus attirant n’a été ni ne sera j amais sur terre q ne Ma famille humaine.

Une Maman Vierge et un Epoui chaste. Quand, petit enfant el puis, plus grand, J’obserrais les deux saintes créatures qui visaient auprès de Moi, Mon Coeur se remplissait de tendresse et de j oie,

Je voyais sir Leur visage la splendeur et la joie des Anges. Je sentais Leur coeur battre ~ l’unisson dans leur amour pour Dieu, peur Moi, car Ils Me connaissaient comme vrai Fils de Uieu, Incarné peu r tout le genre humain.

C’était un Paradis de bonté et d’amour que cette humble maisonnette nue et propre, où habitait le Seigneur.

Oh ! si le Seigneur pouvait habitez dans toutes les familles!

Il y avait une autre famille à BéthaaieC’), celle de Marie, Marihe et Lazare, où, très souvent, Je Me rendais pour Me reposer et Me retrouver parmi des amis Que de délicatesse et de sincérité de sentinients avaient Mes hôtes, qui soupiraient après Ma venue et ÎVI’accueillaient dans leur maison, avec la joie et le désir avec lesiueis on accueille une personne, â qui l’on pense depuis longtemps et que l’on aime fcrtement.

Ma présence sanctifiait leurs âmes qui, dans la pratique de la foi et de l’amour, se préparaient â accepter les sacrifices, â accoraLplir ]eurs devoirs quotidiens.

LES FAMILLES MODERNES

\roici, Ma fille, ce qui manque aux familles modernes li Ici qui fait vivre Dieu au milieu d’elles et l’amour qui, en purifiant les âmes de leurs membres, les rend capables de se sacrifier les uns pour les autres.

de Jérusalem.

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