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parler de l’unité, autre prérogative caractéristique de J’Eglise foadée par Moi.
Etre unis, former une grande unité, Tout père de famille désire que les membres de sa famille soient unis dans l’amour, dans la pensée et dans Faction.
Eh bien, comme Je te l’ai déjà dit d’autres fois, Moi, Je suis le Père, le Chef de l’Eglise, de la famille de Dieu que J’ai Moi-même fondée et Je ne peux que désirer, inculquer et exiger l’unité.

TOUS UNIS

Tous unis par un unique Credo, tous tendus dans ha recheache d’un seul but tous serrés par un seul lien, celui de l’amour de Dieu et des frères. Tous sous la conduite d’un seul guide, rendu ~ar Moi infaillible et puissant le la puissance de Dieu, le Pape.
Voilà l’uit de Mes désirs les plus ardents. Mais comment le réaliser ? Ma fille, voici Mon enseignement.
On ne peut croire ce que l’on are connaît pas. Pour que tous puissiez croire les mènes vérités qui ne vous ont pas été rétélées par les hommes, mais par Dieu Lui.mêne, il faut l’étude de la Vérité. Une étude assidue et éclairée, c’est-à.dire faite sous la consluite de l’Esprit-Saint, qui peut éclairer l’individu et qui assiste et dirige l’Eglise.
D’où la nécessité d’écouter avec une grande attention tout ce qui vous est enseigné concernant Ma doctrine et Mou Evangile.
Jadis, les mamans aussi étaient de véritables maîtresses de teligion et les petits enfants apprenaient, dès les genoux maternels, les premiers éléments de Ma loi et de la Foi. Les premiers gestes d’amour, cjui Me charmaient tant car vous savez que les petits enfants ont toujours fait Ma joie et Mon espérance étaient adressés à Mes images qui occupaient la place d’honneur dans les familles. Puis, on allait à l’Eglise et dans les Oratoires, où l’on coutinuait l’instruction religieuse, taudis que l’on égayait les esprits par des chants et des prières collectives.
Tout ce ~ui élève l’esprit aux choses du Ciel donne aussi du soulagement an corps et Je voyais une jeunesse qui se contentait de peu et de choses simples, à la diffét.ence de la jeunesse d’auj air&‘hui qui n’est jamais rassasiée et tellement malheureuse.
Les jeunes cherchent le bonheur là où ils ne peuvent le trouver, car Dieu seul est le Boniheur et la Joie infinis et le coeur de ihoinrue ne peut se rassasier de choses éphémères.
Voici pourquoi, par l’intermédiaire d’un siniple instrument, Je tenouvelle Mes enseignements qui, mis à votre portée, peuvent Me

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