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la mort. Aimez-vous, M:es enfants. que l’amour vous unisse en Dieu dc manière à ne former qu’un corps et qu’une âme.
Maintenant, accueille Mon invitation et communique-la aussi aux autres, afin que l’on prie pour ceux qui ne sont pas dans la Vérité. Egarés par de fausses doctrines et par des hérésies, ils ont alsandonné la barque dc Pierre. N’éprouvez.vous pas de pitié pour ceun qui marchent daas les ténèbres ?
Sollicitez donc le Père pour qui’tl fasse la lumière et pour qu’apparaisse la Vérité, que l’erreur soit réfutée, que les errants reviennent et que ceux qui sont dans Veneur changent d’avis. Aimez ces frères, que le schisme ou l’hérésie tiennent séparés, implorez leur conversion ; nais que votre préparation spirituelle et votre insiruction religieuse soient telles qu’elles pbissent élucider leurs &outes et que vous-mêmes, vous ne soyez pas entraînés dans l’erreur.
Que la fausse idée selon laquelle toutes les religions sont bornes ne vous séduise pas. Même si celui qui possède une religion différente de la religion chrétienne catholique, que Je vous ai Moi-même enseignée, a la possiliilité de se sauver, s’il est de bonne foi et respecte le comnmandenent de la charité inné au coeur de l’honune, la Vérité n’est pas semblable à l’erreur et elle ne peut être qu’une.
Dire que toutes les religions conviennent et se valent, cela revient à dire que l’erreur vaut autant que la vérité. Cela te paraît-il juste ?
Aie pitié aussi de ceux qui se refusent à vc»ir la lumière qu’ils possédaient jadis et qui ne vivent pas en des terres lointaines, nais peut-être dans vos propres niaisons. Ils sont unis au Corps de I’IEglise, parce qu’ils sont baptisés, nais ils ne sont pas unis à l’âme, parce qu’ils nient quelques vérités qui Font partie du Credo.


LA ROUTE DU MATERIALISME

Ceux-là disent et pensent qu’avec la mort, tout est fini. Ils préfèrent ressembler aux animaux plutôt que de penser qu’ils ont une ûme immorte]le, laquelle les rend supérieurs à toute créature.
J’entends te parler du matérialisme qui entraîne à sa suite des millions d’hommes, leur ôtant la pensée de la vie éternelle. On promet à ces hommes un paradis terrestre, en opposition à celui du Ciel.
C’est pourquoi ils refusent et oublient la récompense que Dieu réserve à ceux qui vivent dans Sa Grice et Son Amour, pour s’attacher à la seule et misérable récompense humaine, si mince et de si peu de valenr, et pour lutter en vue de l’obtenir.
La pensée d’un Père très bon qui vit au Ciel ne les réconforte pas et ne les encourage pas. Ils préfèrent s’appuyer sur une créature

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