Cherche, efforce-toi de voir les choses avec plus de sérénité, même pour rendre ta compagnie plus agréable. Examine les défauts de ton caractère. Stimule-toi en ce qui est bien. Freine-toi en ce qui est mal.

A la base de ta vie, place la bonté et agis en conformité avec elle. Prends comme modèle Ma Mère ou Moi-Même. Pendant un instant, songe à quel point fut aimable, doux, bon et serein, le caractère de Ma Maman, et combien grandes furent Sa maîtrise d’Elle- même, Sa patience dans ha douleur, Son égalité de pensée et de sentiment, Sa constance dans le bien et dans la pratique de vertus héroïques.

Ce qui ne t’est pas possilde ou te semble impossible à faire, fais-le pour l’amour de Ma Maman. Tu verras que tout te sera plus facile et, une fois que tu seras devenue maîtresse de toi-même, tu

sauras aussi commander aux autres, pour qui ce sera un plaisir de t’obéir.

Ne juge pas

Mardi 17 septembre 1968

NE JUGE PAS

Ma chère fille, écris ce que Je te suggérerai. Ne sois pas encline à juger ton prochain, car tu ne peux juger que l’extérieur.

Je suis le Seul à vsir les intentions qui provoquent les actions des hommes, et ce qui vous paraît mal, à vous, Moi, Je le vois bon parce qu’inspiré par de bonnes pensées et des intentions droites.

Que ton jugement soit toujours bienveillant, même lorsque tu vois réellement un mal. Tu ne sais pas si, à la place de ceux que tu juges avec sévérité, ta n’aurais pas fait de même. Tu ne sais pas à quel point ils sont tentés et tu ignores les intentions qui les guident.

Regarde toujours tout le monde d’un regard de bonté et de miséricorde, en Me demandant le salut de tous. C’est ainsi que tu commenceras à rapprocher tan coeur de Dieu pour attirer vers Lui, grâoe à ]a prière, ceux qui sont loin de Lui sans le savoir peut-être, et pour de multiples raisons indépendantes de leur volonté.

Deviens pour tous un moyen de salut et de santé. Si ta parole est désirée et peut être utile, dis-la en Mon Nem, mais si tu comprends quelle n’est pas agréable, ne beurte pas les esprits.

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