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personnes à Me recevoir dans la Sainte Communion, afin cjue, pour Marie, ne se renouvelle pas la cruelle douleur qu’Elle éprouva peu avant Ma naissance.
Que tes Communions soient si brûlantes d’amour qu’elles ser%ent à réparer l’insouciance, la froideur et les refus amers que Je reçois lorsque Je frappe à la porte du ceur de Mes enfants, de Mes chrétiens, pour être accueilli par eux.

L’ancre de scilut
Vendredi 20 sepmeuubre 19~t (L? h.)

Ma fille, Je désire continuer à te parler de Ma Maman et le désire te La faire toujours mieux connaître pour qu’à ton tour, tu puisses La faire connaître, L’aimer et La faire aimer toujours davantage.
Sache que celui qui trouve Marie trouve l’Ancre de salut, celui qui trouve Ma Maman trouve sa Maman et avec Elle, la pair, la bonté, la charité et toutes les vertus tont Elle est la Maîtresse et la Reine.
C’est pourquoi, ne crains jamais d’exagérer en parlant d’Elle et en répandant Sa dévotion, car si Ma mort fut nécessaire pour ouvrir les portes du Ciel, Son oeuvre maternelle est maintenant, plus que jamais, indispensable auprès de toute âme, si l’on veut détruire le nial et conduire ces âmes à la perfection.
Ma fille, pardonne Mon insistance, mais la Maman est nécessaire, car la vie vient d’Elle, C’est ainsi que J’ai établi les choses dès le commencement du monde.
Abandonnez-vous à Elle, vous tous, Mes enfants, et vous trouverez la sécurité du port. Elle vous enseignera l’amour de Dieu et de la Croix, deux amours inséparables car, à Mon école, Elle aima si intensément la croit qu’Elle fut crucifiée avec Moi, par les même~ clous, bien qu’ils fussent invisibles.


Elle enfanta dans le plus grand dénuement
Samedi 21 sepmeunbre P63

Ma fille, nous continuons la leçon sur les douleurs de Ma Marnai. Entre avec Elle dans la grotte: un soupir de soulagement et une parole de remerciement à Dieu, un sourire et un « courage ! n à Joseph.
Lui s’emploie tout de suite à ôter les toiles d’araignée et le plum gros de la malpropreté. Puis, dans le coin le plus reculé et le plus


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