pleins d’affection pour leur Père, supplier le Seigneur afin qu’Il lui donne les grâces les plus belles.

II est vrai que beaucoup, chaque jour, prient à ses intentions pour gagner les Saintes Indulgences, mais beaucoup le font sans une pensée d’affection pour lui, connue si c’était une prière intéressée.

Je vous le répète, Mes enfants, priez pour le Pape, dont la responsabilité dépasse les forces humaines et pour laquelle Le secours divin lui est indispensable ; secours que Je lui accorderai plus abondant par l’intermédiaire de votre prière.

UN SACRIFICE ENORME

Sachez offrir pour li~ti beaucoup de vos sacrifices et de vos souffrances, car la faiblesse de la nature humaine assujétit continuellement au dépérissement, et le manque de repos, le fait de rester perpétuellement sur la brèche, le fait de se soumettre à une discipline, à un horaire, est pour lui, à son âge, un sacrifice énorme.

Eh bien, aimez-le, Mes enfants ! La charité que vous lui ferez sera récompensée par Moi-même d’une manière spéciale, parce que Je considère comme fait à Ma Personne ce que vous faites pour lui, qui Me représente si bien.

Ne négligez jamais de vous intéresser à ce qu’il conintaride, conseille ou désire, car celui qui l’écoute M’écoute ; et aussi pour être en mesure d’expliquer, rIe commenter et de défendre Mes eiiseignements qui vous parviennent par son intermédiaire.

Trop de personnes ne croient pas à son infaillibilité, quand Il parle comme Chef de l’Eglise Universelle, et pensent être en droit de réfuter sa parole, de le blâmer et de le railler ; mais que ceux- là se rappellent que, si chaque apôtre, chaque appelé M’est cher comme la prunelle de Mes y-eux, raisen pour laquelle J’ai pu dire « Qui vous méprise, Me méprise, i — à plus forte raison, Je puis vous le dire de Mon Vicaire, pour lequel Je nourris une si grande prédilection.

Il y a beaucoup -de personnes qui font des comparaisons et pensent pouvoir juger du degré rie sainteté des autres. Que ceux-la sachent que la sainteté, la plupart du temps, est cachée aux yeux des huaimes et qu’il n’est absolument p~ passible à l’ceil humain Je 1a mesurer. Vous verrez au Paradis combien de bévues vous auiez faites sur terre.

LE PAPE QU’IL FAUT

Q ne de fois vous vous êtes trompés dans vos niesures Sachez cependant, et cela est certain, que chaque époque a le Pape qu’il

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