Dans les moments de tentation, de lutte et de découra
gement, regardez vers moi et vous serez encouragés et aidés par moi.
Quand il vous arrive de tomber ou de sentir le poids de la défaite, quand vous vous sentez submergés par le
mal et le péché, venez à moi et je vous donnerai aide et soutien.
En regardant aujourd’hui d’un regard de miséricorde
mes fils pécheurs, je dis: je suis votre céleste Maman
qui vous invite à vous réfugier tous sous mon manteau immaculé pour être protégés et conduits à Jésus, votre
Sauveur.
Je suis le refuge des pécheurs!
Au
moment
où la rage de mon adversaire
se déchaîne
et qu’il réussit à en faire tomber beaucoup par la
force
du mal qui triomphe, je vous invite, mes fils bien-
aimés, à vous immoler et à prier pour la conversion et le salut
dc tous les
pécheurs.
Soyez vous-mêmes avec moi le refuge des pécheurs, des pauvres,
des malades, des désespérés, des petits, des abandonnés. De mon Corps glorieux je reflète ma lumière sur votre corps mortel; de mon Coeur Imma
culé je communique mon amour
à votre coeur malade;
de mon âme bienheureuse je fais descendre ma plénitude de grâce dans vos âmes blessées, je vous transforme aujourd’hui parce que je veux être aussi à travers
vous refuse de tous mes pauvres fils pécheurs.
Venez donc à moi et je vous consolerai et vous conduirai
sur le chemin sûr qui vous conduit au paradis où, dans la lumière et la joie de Dieu, vous atteindrez le but de
toute votre vie terrestre.»
40g
Mère de la Miséricorde
S.
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Paolo (Brésil), 4 septembre 1981
|
1er samedi du mois
«Te
voici
de nouveau dans la grande nation de cet
immense continent pour tenir les Cénacles avec mes fils de prédilection et avec tous ceux qui ont accueilli mon
invitation et se sont
consacrés à mon Coeur.
L’Eglise expérimentera de plus en plus l’aide puis
sante
que lui offre l’amour miséricordieux de mon Coeur Immaculé.
Je suis la Mère de la Miséricorde. Et ma présence veut aujourd’hui être la plus forte là où l’adversaire a
causé plus de dommages et une plus grande dévastation.
J’entre dans le jardin de l’Eglise si désolée et j’en recueille les fleurs saccagées pour les restaurer, les fleurs fanées pour leur rendre vigueur, les fleurs courbées pour les redresser; je cherche à rendre sa beauté à ce jardin, qui doit éclore et parfumer uniquement pour l’amour et la gloire de Jésus.
Ici aussi, où l’adversaire a tellement violé l’Eglise,
je
veux exercer grandement la miséricorde. Et je
me sers de toi, pauvre enfant, que j’ai placé comme signe de mon
amour miséricordieux, parce que je t’ai appelé à
porter à tous la confiance en mon Coeur maternel.
Encourage, console, affermis tes frères Prêtres. Vois
comme ils souffrent! Ils
sont comme abandonnés, et
combien ils
se découragent, presque comme un trou
peau sans pasteurs, eux qui sont appelés à être les Pas
teurs
du
troupeau.
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