1er janvier 1981

En ce moment, en effet, le ciel et la terre s’unissent dans une communion extraordinaire de prière, d’amour et d’action, aux ordres de votre céleste Chef».

Buenos-Ayres (Argentine), 13 octobre 1981 Anniversaire de la dernière apparition de Fatima

«Tu es aujourd’hui à Lujan, dans le sanctuaire le plus célèbre de cette grande nation, où je suis tellement aimée et vénérée. Par un Cénacle, tu y rappelles l’anniversaire de ma dernière apparition de Fatima qui a eu lieu en ce même jour de 1917. Tout le dessein que je suis en train d’accomplir, vous a été révélé à ce moment.

Vous entrez dam in période la plus difficile et la plus décisive. Vous vivez les dernières années de ce siècle pendant lequel s’est déjà déroulée une grande partie de la bataille entre votre céleste Chef et son adversaire. Vous êtes en train de vivre maintenant sa phase terminale. Voilà pourquoi je vous prépare chaque jour, dans la confiance et la prière, à vivre les heures les plus douloureuses.

Avec l’anxiété et la préoccupation d’une Mère, qui voit combien grand est le danger que vous courez, je vous invite encore à revenir à Dieu qui tous vous attend pour vous donner son pardon ot son amour paternel.

Voyez de combien de signes j’accompagne cet appel angoissé!... Par les messages et les apparitions, par lesquels je me manifeste dans bien des régions du monde, par mes nombreuses lacrymations, aussi de sang, je

veux vous faire comprendre que l’heure est grave, que la coupe de la justice divine est à présent remplie.

Une blessure intérieure est infligée à mon Coeur de Maman du fait qu’on refuse d’admettre et d’accueillir ces signes extraordinaires.

Que puis-je encore faire pour vous, mes pauvres fils, si menacés et si exposés au danger? Dans une tentative extrême de salut, je vous donne le refuge assuré de mon Coeur Immaculé. De toutes les parties du inonde je vous appelle, par mon Oeuvre, à entrer dans ce refuge par votre consécration.

Et toi, mon petit, conduit et porté par moi, va dans toutes les régions du mohde porter à tous mon appel maternel. Mon heure est arrivée (...).

Elevez vers le Père un cri puissant d’imploration et de réparation. Que du divin Coeur du Fils puissent jaillir des fleuves de miséricorde sur le monde, qui sera entièrement renouvelé par la puissante action de l’Esprit- Saint, pour qu’en lui puisse resplendir la gloire de Dieu le Père».

«Aussi dans cette nation que j’aime tant, tu es allé dans toutes les régions pour tenir des Cénacles avec mes Pietres et tant de mes autres enfants. Quel amour et quelle dévotion envers moi tu rencontres sur toutes les routes du monde!

La réponse la plus généreuse à mon invitation maternelle est donnée par les pauvres, les petits, les humbles,