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tion. Que de mal, combien de péchés sont réparés chaque jour par mes fils bien-aimés qui, conduits par leur céleste Maman, parcourent le chemin douloureux de leur propre sanctification!

Ne considérez pas le grand mal qui est encore accompli et diffusé par les moyens les plus raffinés de communication sociale.
Sous les cendres de l’immense désert auquel est réduit aujourd’hui ce pauvre monde, jaillissent beaucoup de nouveaux germes de vie et de salut. Ce sont les vies méconnues, cachées, mais si précieuses de mes Prêtres et de tous ces fils que je conduis chaque jour sur la route de la sainteté.
Que votre «oui» à la volonté du Père se réalise dans l’effort quotidien d’échapper au péché et de vous libérer de son emprise pour vivre dans la grâce et la plénitude de l’amour; dans l’effort de vous recueillir dans uiie illuiiiiiie dc piiele et de vie avec JCsus, de iCflexiuu et de compréhension de sa Parole divine; dans la souffrance intérieure devant le grand abandon et la solitude dans lesquels l’homme se trouve aujourd’hui!
Oui, Père, à ta volonté pour que, comme au ciel, soit accomplie aussi sur la terre ta seule volonté.
Oui, Père, pour que, comme est le ciel, ainsi devienne aussi cette terre, déserte et jamais menacée comme de nos jours.
Oui; Père, à ton amour méprisé, à ta présence outragée, à ta Parole refusée.
Oui, Père, au don d’immense miséricorde qui resplendit dans ton Fils que, par le «oui» de la Vierge Marie, tu nous a donné pour toujours comme Jésus
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salut, Jésus vie, Jésus vérité, Jésus source de la divine miséricorde, Jésus parfaite réalisation de la volonté divine.
Que votre <‘roui», fils bien-aimés soit déposé dans le «OUI» que la céleste Maman répète â son Dieu: pour le triomphe tout proche de mon Coeur Immaculé dans le triomphe de la miséricorde et de l’amour, de la vérité et de la justicc.(...)»
Aujourd’hui se répète sa passion
17 avril 1981 Vendredi saint
«Fils bien-aimés, aujourd’hui vous vivez avec mo la passion de mon Fils Jésus. Chaque jour cette douloureuse passion se répète.
Entrez avec moi au plus Drofond de son divin Coeur pour gouter toute l’amertume de son calice: l’abandon des siens, la trahison de Judas, tout le péché du monde qui l’écrase SOUS un poids impossible et mortel. Prostré sous ce pressoir, il sent les gouttes de sang qui se répandent sur son corps et tombent comme une rosée sur le sol.

Combien pèsent encore aujourd’hui sur son Coeur la facilité avec laquelle beaucoup lui tournent le dos pour suivre les idées du monde, ou le chemin de ceux qui le refusent encore et le renient!
Combien, parmi les disciples, dorment chaque jour du sommeil de l’indifférence, de la médiocrité intérieure, du doute, du manque de foi!
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