enfants. Je suis Reine de toutes les nations, d’une royauté d’amour, qui veut amener les coeurs de tous à la plus grande union de vie avec Jésus, de telle façon que le Père soit glorifié dans le triomphe de son Esprit d’amour.

Portez dans votre vie les souffrances des peuples, réduits en esclavage par ceux qui renient Dieu et répandent l’athéisme par tous les moyens. La Pologne, dont j’ai été proclamée Reine officiellement, est un signe de cette persécution perpétuelle et sanglante. Combien sont empêchés dans ces nations de professer leur foi; combien sont mis à l’écart à cause de leur fidélité au Christ et à l’Eglise! Depuis tant d’années, le dragon rouge a étendu son domaine sur ces peuples et persécute mes enfants par les moyens les plus rusés et les plus raffinés.

Ressentez dans votre coeur la blessure profonde que j’éprouve devant les millions d’enfants tués dans le sein de leurs mères, devant le péché qui se répand et séduit les âmes, devant l’immoralité qui corrompt les consciences comme un terrible cancer, devant le désordre des jeunes, victimes du vice, de la drogue et de la vio lence, devant la dissolution de tant de foyers domestiques.

Participez aussi aux souffrances de l’Eglise, qui vit l’heure de son plus grand abandon. Comme elle est malade, ma fille bien-aimée! Portez dans votre coeur les souffrances de Jésus et les miennes devant l’état d’agonie que l’Eglise présente aujourd’hui dans le monde entier. On enseigne l’erreur, on la répand sous des formules ambigués de nouvelles interprétations culturelles de la vérité; on accueille l’esprit du monde, qui

se répand avec son influence maléfique et porte tant d’âmes à choisir et à justifier le péché, à vivre dans le péché; le manque de foi se répand et, en beaucoup de lieux de culte, sont enlevées les images des saints et même celles de votre céleste Maman. L’apostasie s’est répandue maintenant dans toutes les parties de l’Eglise, qui languit, trahie même par certains Evêques, abandonnée par beaucoup de ses Prêtres, désertée par tant de ses enfants et violée de manière croissante par mon adversaire.

Toi, mon petit enfant, parcours encore toutes les régions du monde et annonce à tous avec force mon message. Vous vivez les temps terribles et douloureux de votre purification. Plus que jamais, vous devez regarder vers moi pour être consolés, défendus et sauvés. Je suis la Maman pour les temps que vous vivez. Je suis Mère pour vous à l’heure de la présente purification! »

Vancouver (Canada), 3 septembre 1983 Premier samedi du mois

Ministres de la Rédemption

«Fils de prédilection, répondez à ma maternelle invitation à être les ministres fidèles de la Rédemption accomplie par mon fils Jésus. C’est à vous qu’est con fiée la tâche précieuse de baptiser et de pardonner les péchés, d’annoncer l’Evangile, de renouveler, dans la célébration de la sainte Messe, le sacrifice accompli sur le calvaire, de communiquer la grâce par les sacre491

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