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6 janvier 1978
Premier vendredi du mois et de l’année

Tu peux nous aimer aussi de cette manière

«Mon fils bien-aimé, pénètre de nouveau avec sérénité dans le Coeur de Jésus.
Si tu savais combien il t’aime, comme il te regarde avec prédilection! Sais-tu pourquoi? Parce que tu es toujours si petit, si pauvre, si rempli de défauts...
Jette tout dans la fournaise ardente de son Coeur et tout sera brûlé par son amour miséricordieux: tes péchés, tes faiblesses, tes défauts.
A la fin, il ne te restera plus rien qui t’appartienne: le bien que tu feras sera uniquement notre oeuvre. Toi, tu
nous offriras le don qui pour nous est le plus précieux de tous et que nous désirons toujours de toi: ton amour.

Tu poux nous aimer au~i de cette manière: dans la petitesse, dans la pauvreté, dans ta misère vraiment profonde.
Ne te décourage pas quand tu vois que tu me promets quelque chose et que tu ne tiens pas ta promesse...
Tu m’as toutefois offert ta peine et le repentir pour ton erreur et mon Coeur maternel en tressaille de joie.
Cependant, efforce-toi aussi d’observer tout ce que je te demande et d’être fidèle à ce que tu me promets.

Silence avec tous, prière, souffrance et la plus grande confiance en moi.
Ces douleurs intimes, ces secrètes humiliations te rendent semblable à mon Fils crucifié.
Laisse-toi de plus en plus assimiler à lui par ta Maman du ciel qui veut t’étendre comme il faut sur la croix, celle que mon Fils Jésus a préparée pour toi...»
Aidez-moi, mes fils
Rome, 21janvier 1978 Fête de sainte Agnès
«Chaque jour qui passe, mes fils bien-aimés, voit grandir votre nombre. Mon action se fait plus forte et plus évidente pour le renouvellement de l’Eglise et le salut du monde.
Jamais comme en ce moment, votre Maman du ciel n’a tremblé de peur et n’a été comme angoissée. Je m’approche du coeur de mes fils bien-aimés et je demande à chacun, avec une maternelle insistance, d’être aidée par vous.

Aidez-moi, mes fils!
Maintenant, votre Maman a besoin de votre secours.
N’entendez-vous pas comment, de toutes parts, je vous appelle, je vous rassemble et je vous implore? Je vous implore par des signes de plus en plus nombreux et de plus en plus frappants: mes «lacrymations», mes apparitions, mes messages.
Désormais, je n’arrive plus à retenir ce pauvre monde dans sa chute vers le fond du gouffre. Tel est son plus grand châtiment; car, lorsqu’il aura touché le fond, le monde se détruira lui-même.
Il
sera, en effet, détruit et consumé par le feu de
l’égoïsme effréné, de la haine qui dressera les hommes
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