l’erreur et s’éloigiieiiL de mon Fils Jésus et de la vérité de son Evangile.
C’est ainsi que leur lumière s’éteint et que les fidèles cheminent dans l’obscurité. Combien sont-ils, parmi
eux, ceux qui désormais vivent habituellement dans le
péché et n’accueillent pas mes pressantes invitations à
lu conversion? Ils tentent meme de justifier le peche
en
s’adaptant à la mentalité du monde qui, aujourd’hui, légitime jusqu’aux plus graves désordres moraux.
Combien sont-ils mes fils Pretres qui
ne prient
plus! Ils
sont dévorés par l’action et ne trouvent pas un moment
pour la prière.
Tu seras plus belle
Ma pauvre Eglise! Puisque je suis ta Maman, je m’approche de toi et je te trouve, ma fille, bien malade. Tu parais presque sur le point de mourir...
Que ton affliction et ton abandon sont grands! Mon adversaire, chaque jour, te frappe de plus en plus dans les Pasteurs
qui te trahissent, dans les Prêtres qui
deviennent des
serviteurs
infidèles.
Ta grave maladie, l’apparente victoire sur toi de mon adversaire ne sont pas cependant pour ta mort! Elles sont pour une plus grande glorification de Dieu.
Moi-même, en tant que Maman, je t’assiste en cette agonie de ta très douloureuse purification. Je te reçois entre mes bras maternels et je te serre contre mon Coeur Immaculé.
En tant que Maman, je verse du baume sur tes nombreuses blessures et j’attends l’heure de ta parfaite gué-
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rison. Moi-même, quand cette heure sera venue, je te guérirai.
Tu seras plus belle! Tu seras entièrement renouvelée et complètement purifiée au moment où, grâce à ta nouvelle vie, resplendira sur le monde entier le triomphe du Coeur de Jésus et de mon Coeur Immaculé.»
2 février 1977
Présentation de l’enfant Jésus
au temple
Je vous porte dans mes bras
«Voici le mystère d’amour de ma divine maternité:
comme Maman, je confie aux mains du Prêtre mon petit Enfant et, en lui, j’adore mon Dieu qui entre dans la gloire de sa maison.
Chaque détail de la loi s’accomplit: l’offrande, le sacrifice, le rachat. Un petit Enfant est confié au Prêtre: pour lui, ce n’en est qu’un parmi tant d’autres.
Mais à ceux qui ont un coeur de petit enfant est révélé le mystère du Père. L’Esprit-Saint se pose sur un pauvre vieillard, perdu dans la foule. Les bras du vieillard s’ouvrent pour serrer avec amour le Messie promis, le Sauveur d’Israêl tant attendu.
Joseph, mon époux, et moi-même, nous nous regardons étonnés. Pour la première fois, le mystère se fait évident et l’annonce en est donnée par une voix humaine.
Il n’est pas révélé aux docteurs ni aux Prêtres. Il est dit à un vieillard, à une femme, aux gens humbles, pauvres en esprit. Le dessein de Dieu est ainsi anticipé: cet
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