sous mon manteau immaculé. C’est le bouclier dont je vous couvre pour vous protéger contre toutes les attaques dans la grande bataille à laquelle je vous appelle. Vous devez vous revêtir de ce puissant bouclier, que je vous donne pour votre défense et votre salut.

Combien sont nombreuses aujourd’hui les embûches de mon adversaire, qui semble atteindre le sommet de sa grande offensive! De toutes les manières et par les moyens les plus rusés, il cherche à vous séduire dans l’espoir de vous frapper dans l’âme, de vous blesser par le péché, de manière à vous éloigner de Jésus, qui est votre seul Sauveur.

L’humanité entière est contaminée par ce poison invisible et a besoin maintenant d’être guérie par l’amour miséricordieux de Jésus. Il se manifestera à vous de manière extraordinaire à travers l’intervention de votre céleste Maman.

L’arme que je vous donne pour le combat, est la chaine qui vous lie à mon Coeur: le saint Rosaire. Fils bien-aimés, réci~ez-le souvent parce que c’est seulement par votre prière sacerdotale, recueillie dans mon Coeur Immaculé, que nous pouvons, en ces temps, amener et presque forcer la grande miséricorde du Seigneur à se manifester.

A l’heure où tout semblera erdu out sera sa vé par l’amour miséricor ieux du Père, qui se rendra visiblc à travers la plus grande manifestation du Coeur eucharis~~sus.

L’étendard sous lequel je vous rassemble est celui de Jésus crucifié, qui doit être montré par vous parce que,

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même pour votre génération pervertie, il n’y a de salut que dans la Croix de Jésus.

Portant dans une main la couronne du Rosaire et dans l’autre l’étendard du Crucifix, combattez maintenant pour la phase décisive de la bataille.

Cette maternelle intervention a été fortement demandée aussi par la prière confiante de mon premier fils de prédilection, le Pape, qui a invoqué pour vous la miséricorde de Dieu.

Son cri puissant a pénétré le ciel et a amené mon Coeur maternel à hâter les temps de la victoire.(...)

C’est pourquoi je vous rassemble aujourd’hui dans ma cohorte et je vous donne le bouclier, l’arme et

I l’étendard pour le combat. Je vous fortifie tous et vous bénis.»

Autour du berceau

24 décembre 1980

Nuit sainte

Fils bien-aimés, c’est la Nuit sainte. Passez-la avec moi dans la prière, le silence le recueillement, l’attente.

l’aide précieuse de mon époux en parcourant la dernière étape d’un voyage fatigant.

Ce fut mon jour le plus long. Mais le soir, lorsque nous entrions dans la ville qui devait nous accueillir,

‘outes les portes se sont fermées. A chacune de nos demandes a été opposé un nouveau refus.

Ainsi, le gel, qui avait depuis longtemps engourdi mes membres, commençait à entrer dans mon âme et

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