lés sur le Coeur de
mon Fils durant
les heures de son
atroce agonie.
Ce qui fait souffrir le coeur du Pape, c’est ce monde si éloigné de Dieu, ce sont la négation et le refus de Dieu de la part de tant d’hommes, c’est la vague de révolte et de boue qui grandit de plus en plus et submerge tout.
Ce qui fait souffrir le coeur du Pape, ce sont la solitude et l’abandon dans lesquels il est laissé. La
douleur
la plus intime et la plus grande de mon Fils aux heures de son agonie a été la trahison de Judas et l’abandon de ses plus chers amis quand, humainement, il avait le plus besoin d’eux.
Actuellement, le Pape souffre de la trahison et de
l’abandon de beaucoup: même ses plus proches collaborateurs lui désobéissent souvent et l’entravent; de
nombreux
Prêtres,
tant aimés de lui, s’opposent à lui; beaucoup de mes fils, victimes de Satan, le raillent, le
condamnent.
Combien qui, pourtant,
se disent chrétiens et catholiques, chaque jour le critiquent, le contestent, le jugent. Pour mon Eghise, c’est véritablement l’heure du pouvoir des ténèbres.
Toujours avec le Pape
Toi qui m’es consacré, ô mon fils, toi qui veux être la joie et le réconfort de mon Coeur Douloureux, fais-toi le puissant interprète de ma profonde appréhension, de ma plainte de Maman.
Console le coeur du Pape de ton amour filial, de ta prière; partage sa souffrance, aide-le à porter sa croix aujourd’hui trop lourde.
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Voici comment, dans l’Eglise, je veux
les Prêtres de
mon Mouvement: ils doivent être les amis, les consolateurs, les défenseurs du Pape.
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Les amis, car
ils combleront sa solitude par beau
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coup d’amour et de prière.
Ils seront toujours avec lui, même au moment du grand abandon; ils porteront aussi avec lui sa croix quand, à l’exemple de mon Fils, il devra gravir le chemin du calvaire.
Auprès du Pape, sur la croix, avec moi, la Maman, je veux que se trouvent ses amis les plus chers: les Prêtres de mon Mouvement.
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Les
consolateurs, car ils allégeront son abandon et sa souffrance et ne craindront pas de partager, comme lui, le sort même qui, aujourd’hui, attend ceux que j’ai
préparés à l’ultime immolation pour le
salut du monde.
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Les
défenseurs, car ils lui seront toujours fidèles et combattront contre tous ceux qui le contestent et le
calomnient.
A Fatima, j’ai annoncé de tels moments pour le Saint-Père, mais je lui ai promis aussi ma spéciale assistance et ma défense. C’est moi qui le défendrai et qui l’assisterai par votre intermédiaire,
ô mes Prêtres.
Vous, vous êtes ma cohorte prête à combattre pour l’Eglise et pour le Pape. C’est ainsi que vous serez fidèles à l’Evangile et que, grâce à vous, je remporterai ma plus grande victoire.»
Des mains de mon adversaire
31 octobre 1973
«(rn)
Grâce à mon Mouvement, j’arracherai des
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