C’est à cette joie que je veux amener tous les Prêtres de mon Mouvement. Ils doivent savoir comment je change et transforme moi-même totalement leur existence, en prenant à la lettre le don qu’ils m’ont fait de leur consécration.

Mes petits enfants, je les conduirai bien avant dans l’amour, dans la souffrance, dans la joie de la Croix!

Les moments approchent où je pourrai agir moi- même pour le salut du monde à travers la souffrance de mes fils Prêtres. (...) D’eux, je veux la confiance, hi prière, la simplicité, le silence. (...)»

Dépose-les sur mon Coeur maternel

27 mars 1974

«Réunis mes fils: c’est le moment où ils doivent se connaître, où ils doivent se rencontrer, où ils doivent s’aimer.

Tu es en moi et, lorsque tu parles au cours de ces reiicontres, je suis vraiment présente au milieu de vous. Même si vous ne me voyez pas, je suis présente véritablement et non pas seulement spirituellement. Et je vous donnerai des signes certains de cette présence.

Chacun la sentira et sa vie sera comme suavement transformée, et son âme sera doucement touchée par ma caresse de Maman. C’est pourquoi, ô mon fils, ne cherche pas autre chose, ne te soucie pas d’autre chose que de rester toujours sur mon Coeur Immaculé.

Quelle joie et quel réconfort tu procures à la Maman,

ô mon fils! Amène-moi tous ces fils bien-aimés:

rassemble-les dans ma cohorte; dépose-les tous sur mon

Coeur maternel.»

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Qu’ils m’offrent leurs souffrances

1er avril 1974

«La route sur laquelle je te conduis est difficile, mon fils, mais c’est celle que, depuis toujours, je t’ai préparée.

De combien de difficultés et de combien de douleurs n’est-elle pas jalonnée! Mais tu ne dois pas te décourager: pourquoi te sens-tu si craintif? De quoi as-tu peur? Laisse-toi conduire uniquement par moi, reste toujours sur mon Coeur.

Fais-moi le don de toutes les difficultés que tu rencontres, de toutes les douleurs et de tous les abandons que tu ressens. Rien ne réconforte autant mon Coeur Immaculé et Douloureux qu’une souffrance offerte par amour par mes fils Prêtres.

Mon Fils Jésus, lui aussi, a voulu offrir au Père toute sa souffrance par mon intermédiaire.

C’est ainsi que je suis devenue véritablement Corédemptrice. Que mes enfants m’offrent toutes leurs souffrances, toutes leurs incompréhensions, toutes leurs difficultés. C’est le plus grand don qu’ils puissent me faire.

Parce qu’ainsi, ils me permettent de réaliser dans le temps - en ce temps - ma tâche de Mère et de Corédemptrice. Je sauverai beaucoup d’âmes rachetées par Jésus et maintenant si éloignées de lui, parce que mes fils, avec moi, payeront pour elles.

Oh! je ne veux d’eux que prières et souffrances: c’est ainsi qu’ils consoleront vraiment mon Coeur et répondront au grand dessein de miséricorde que, par leur intermédiaire, je suis en train de réaliser.»

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