La raison de mes pleurs

consacrent à mon Coeur Immaculé, me donnant tout eux-mêmes et leur Sacerdoce.

De cette façon, mon Coeur Immaculé et Douloureux sera vraiment consolé et les nombreuses épines me feront moins mal à cause de la grande joie que vous me procurez.

Je penserai moi-même au reste, car voici mon heure et vous tous, je ne vous ai préparés que pour cette

«Marche dans la simplicité. Moi, je te conduis par la main et toi, suis-moi toujours. Laisse-toi conduire par moi; laisse-toi nourrir par moi; laisse-toi bercer par moi: comme mon petit enfant dans mes bras.

Puisque Satan, aujourd’hui, a trompé la plus grande partie de l’humanité par l’orgueil, par l’esprit de rébellion contre Dieu, ce n’est que par l’humilité, par la petitesse, qu’il est possible maintenant de rencontrer et de voir le Seigneur.

Provoqué par cette rébellion contre Dieu, par cet orgueil de Satan, c’est le flot de la négation de Dieu, de l’athéisme qui menace vraiment de séduire une grande partie de l’hunianité.

Cet esprit d’orgueil et de rébellion a également contaminé une grande partie de mon Eglise! Trompés et séduits par Satan, même ceux qui devraient être lumière pour les autres ne sont plus désormais que des ombres

qui marchent dans les ténèbres du doute, de l’incertitude, du manque de foi.

Désormais , ils doutent de tout: mes pauvres enfants, plus vous chercherez la lumière tout seuls et par vos propres forces, plus vous tomberez dans l’obscurité!

Il faut revenir aujourd’hui à la simplicité, à l’humi lité, à la confiance des petits pour voir Dieu. C’est pourquoi je suis moi-même en train de me préparer cette cohorte, mes Prêtres, que je rendrai de plus en plus petits, afin qu’ils puissent être remplis de la lumière et de l’amour de Dieu.

Humbles, petits, abandonnés, confiants, tous se laisseront conduire par moi; mais un jour, leur petite voix aura la clameur d’un ouragan et, s’unissant au cri de victoire des Anges, elle fera courir dans le monde entier le cri puissant: «Qui est comme Dieu? Qui est comme Dieu?»

Ce sera alors la défaite définitive des orgueilleux, mon triomphe et celui de mes petits enfants.»

Continue, mon fils, dans ta vie d’abandon simple et filial envers moi. Vis toujours dans la plus grande confiance en mon action de Maman.

Ne te laisse pas prendre par les choses; bannis toute préoccupation. Je te le répète: aucune interférence extérieure ne pourra nuire à cette Oeuvre qui est mienne.