La raison de mes pleurs

«Ta vie, mon fils, est très précieuse et tu ne dois pas la gaspiller, ne serait-ce qu’un instant.

C’est pourquoi, exerce-toi à demeurer toujours en moi, sur mon Coeur, à agir toujours avec moi: à penser avec mon esprit, à voir les choses avec mon regard, à les toucher avec mes mains, à les aimer avec mon Coeur.

Il y a des moments où tu le remarques plus par ticuliérement et c’est lorsque tu es avec moi dans la prière; alors, tu te sens vraiment comme l’enfant sur le Coeur de la Maman et ton âme goûte ainsi des moments d’une douceur de Paradis, que je réserve jalousement à mes fils de prédilection.

sorti de la prière, toute autre chose te fatigue et t’ennuie; et ceci est encore un don que je te fais.

Car - même lorsque tu ne pries pas - tu dois toujours être en acte de prière, et tu l’es si tu vis habituellenieiit en moi. Alors, même lorsque tu parles, que tu te divertis, même lorsque tu te promènes, tu es toujours en moi parce que tu fais tout avec moi...

C’est ainsi que je veux tous les Prêtres du Mouvement Sacerdotal Marial. Ils doivent être: mes Prêtres! Je te le répète: les miens. Depuis qu’ils se sont consacrés à mon Coeur Immaculé, ils ne peuvent plus s’appartenir: leur vie, leur âme, leur intelligence, leur coeur, leur bien, même le mal qu’ils ont fait et les défauts qu’ils ont, tout est à moi, tout m’appartient.

Puisque ces Prêtres sont à moi, ils doivent s’habituer à se laisser conduire uniquement par moi: avec simplicité, avec abandon.

Ma joie est de les conduire - comme Maman -vers de “Q grands buts de sainteté: je les veux fervents, je les veux

Ils seront ma joie, la plus belle couronne de mon Coeur Immaculé et Douloureux qui, de nouveau, veut être le moyen de salut pour l’Eglise et pour l’humanité.»

«La nuit est désormais tombée sur le monde, ô mon fils; c’est l’heure des ténèbres, l’heure de Satan; c’est le moment de son plus grand triomphe.

Comme j’ai apprécié ta prière et ta souffrance pour réparer le grand outrage, le plus horrible blasphème qui ait jamais été proféré contre mon Fils! (...).

Ni durant sa vie publique, ni durant le procès de son horrible condamnation, mon Fils Jésus n’a été sali.

Même devant le Sanhédrin, on ne trouva pas d’accusateurs, si limpide et pure avait été toute sa vie.

Maintenant, on attente à sa pureté, on propage un blasphème si horrible et satanique que le Ciel entier en reste effrayé et incrédule!