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- Vous vous réunissez dans la fraternité: comme ce fut le cas au Cénacle de Jérusalem, ainsi en Cénacle, je vous aide à grandir dans l’amour réciproque. Vous vous connaissez, vous vous comprenez, vous vous communiquez difficultés et problèmes et, comme autant de frères, vous vous aidez à grandir dans l’exercice d’une charité de plus en plus parfaite. Vous vivez ainsi le commandement nouveau que Jésus vous a donné: celui de vous aimer mutuellement comme lui vous a aimés.
Et par votre intermédiaire, vous qui m’avez répondu, le dessein de mon Coeur litiiriaculé est en train de se réaliser aussi pour votre patrie et pour l’Eglise qui vit ici au Brésil.
Je suis la Maman et la Reine du Brésil. Comme je vous l’ai dit dans mon message précédent, je vous confirme que l’Eglise court ici un grand danger de devenir victime de l’apostasie et de la perte de la vraie foi. Les dangers qui la menacent sont la contestation, la division, les critiques nombreuses et publiques contre le Pape et son Magistère, dc la pait de certains Evêques, Prêtres, religieux et fidèles.
Revenez tous sur le chemin d’une unité plénière, docile, obéissante, avec le Pape si vous voulez rester dans la vraie foi et dans la fidélité au Christ et à son Evangile. Votre patrie est aussi de plus en plus menacée par le matérialisme et l’hédonisme, tandis que plus profonde devient la division entre ceux qui jouissent de biens matériels abondants et ceux qui sont privés même du nécessaire pour survivre. Elle est menacée par la plaie du divorce, de l’avortement, du recours à tous les moyens pour empêcher la vie de naître, de l’immoralité, de l’impureté, répandue à travers les moyens de communication sociale, surtout par la télévision.
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Mais, comme je vous l’ai promis, je suis intervenue et j’interviens chaque jour pour porter votre patrie et votre Eglise sur le chemin de l’unité, du salut et de la paix.
Je suis la Maman et la Reine du Brésil. Je vous manifeste aujourd’hui ma satisfaction maternelle, parce que vous avez écouté l’invitation, que je vous ai adressée, à répandre partout les Cénacles de famille, comme un grand filet de salut. Vous avez répondu à ma demande et j’ai tenu ma prurilesSe.
Maintenant que VOUS entrez dans la dernière décennie de ce siècle, au cours de laquelle se réaliseront les événements décisifs qui vous conduiront au triomphe de mon Coeur Immaculé, je vous demande de répandre encore davantage les Cénacles parmi les Prêtres, les Cénacles parmi les fidèles et par-dessus tout les Cénacles de famille. Je demande particulièrement que s’instaurent partout les Cénacles des enfants, comme une croisade de plièle innocente, qui puisse former une grande barrière contre la diffusion du mal et du péché et permettre à Dieu et à votre céleste Maman d’obtenir la victoire du bien et de l’amour.
Retournez dans vos maisons dans la paix et devenez les apôtres de mon Mouvement dans tout le Brésil. Je vous accompagne de mon amour maternel, je vous assure que je suis toujours aux côtés de chacun de vous et je vous bénis.>)
San Paolo (Brésil), 13 mars 1990
Quand le Fils de l’homme reviendra
«Vous lisez dans I’Evangile - Quand le Fils de l’homme reviendra, trouvera-t-il encore la foi sur la
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