17

Pardonne-Moi, Ma fille, si, devant te donner une leçon aussi importante, J’ai dû te rappeler. Ce sont des bénédictions pour toi et pour ta famille spirituelle si chère à Mon Coeur.
Je Me réserve de continuer la leçon sur la famille de Dieu a un autre moment.


Prérogatives de l’Eglise
La pauvreté
Vendredi 30 août 1968


Ma fille, recommence à écrire. Je continuerai à te parler de Mon Eglise, Mon Epouse bien-aimée.
Une des qualités dont J’ai voulu qu’Elle fût ornée dès sa naissance a été la pauvreté.
Douze Apôtres, pauvres pêcheurs, en ont été les pionniers. Ils ne possédaient rien. Ce n’était pas des hommes d’une intelligence éminente, ils n’avaient pas d’instruction et ils ne possédaient pas de biens matériels, en dehors du désir de travailler et de rapporter chaque jour, chez eux, le fruit Je leur fatigue, souvent ingrate.
J’aimais leur simplicité et J’en avais besoin. Un seul était menteur parce tiu’il cachait, sous une apparence de bonté, l’avarice, la cupidité et la sensualité dont était rempli son coeur : le traître.
Moi, Je les aimais, Mes anis, et malgré leur incapacité à Me comprendre, Je leur révélais Mies secrets que l’Esprit-Saint leur ferait connaître pleinement


LAISSER TOUT

Je ne demandais qu’une seule chose à ceux qui voulaient Me suivre et Je n’en imposais qu’une à Mes Apôtres: laisser tout et tout le monde peur se donner entièrement à Moi dans l’accomplissement de la Mission divine que Je leur confiais. « Celui qui aime son père et sa mère plus que Moi n’est pas digne de Moi », disais-Je. Ils levaient être libres de toute affection familiale pour pouvoir aimer plus intensément Dieu et toutes les créatures, car devant aimer comme Moi, la famille de Dieu devenait leur famille.
Mais Je les voulais libres aussi de tout ce qui préoccupe matériellement. Je disais: «Là où est ton trésor, là est ton coenir »; c’est pourquoi J’insistais: «Allez sans sac et sans besace », car les richesses

300

17